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MessagePosté: 22 Juil 2005, 19:54 
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Voilà ma première FanFiction, alors, dites-moi comment c'est dans les moindres petits dérails :wink:

Lara Croft Tomb Raider le Miroir de la vérité
Premier chapitre : APPEL MYSTÉRIEUX


Après ma quête en Espagne, j’étais rentré au manoir Croft. Je demandais à Winston d’aller me faire un Granisado, une boisson espagnole — c’est de la glace pilée au citron, délicieux. Une chaleur infernale régnait sur l’Angleterre. En faisant, comme chaque matin, mon rituel sportif, je reçus un appel téléphonique d’une personne inconnue. Cette personne avait une voix extrêmement aigu ; je m’aperçus immédiatement qu’elle avait un déformeur de voix. Je distinguais tout de même une voix d’homme — adulte, cela va de soit. Elle prononça :
— Miss Croft, nous savons que vous avez un artefact que vous avez trouvé en Espagne. Nous en avons besoin. Donnez-le nous demain à 17h50 à la librairie de la rue : Mirror.
— En quel honneur devrai-je vous le donner, ripostai-je
— Chère Lara, vous avez du répondant, mais nous ne lâcherons pas prise.
— Je suis contente pour vous.
— Ne jouez pas à ce petit jeu là avec moi. Nous pourrons vous payez des millions.
— Intéressant, mais je pense que j’ai déjà assez pour satisfaire mes plaisirs.
— Très bien Miss Croft, vous l’aurez voulu..
Il raccrocha. Winston m’avait apporté le granisado pendant que je parlais à ce M. X.

Vers midi, je décidais d’aller faire un tour dans la cave. Je voulais savoir d’où venait cet appel. J’avais installé récemment un système de repérage téléphonique — on n’est jamais trop prudent. M. X avait appelé d’une cabine téléphonique à Londres mais j’eu du mal à le repérer car il avait placé un système de connexion satellite et une balise qui envoie de fausses données, judicieux, soit, mais pas inviolable. D’une cabine téléphonique, je laissais tombé, des tas de personnes sont déjà passés. Et puis la police ne pourrait rien faire non plus. Avec la chaleur, je décidais d’aller faire un exercice de tir — la salle était fraîche — pour me refroidir. Une fois arrivée dans la salle, j’allais dans le coffre qui contenait mes armes qui avait un nouveau système vocal : SRVSM — Système de Reconnaissance Vocale à Services Multiples. Ils pouvaient lancer des balles à blanc, incendiaires, explosives, en plomb, éclairante et la nouveauté, je pouvais leur dire quand se déclancher. Des cibles normales apparurent, j’utilisais pour ça des balles de plomb. Une énorme cible en acier se dressai devant moi.
— Pistolets : balles perforantes explosives deux secondes après impactes.
J’entendis un délicat « clic » sortir de l’intérieur des pistolets. Je tirai une balle de chaque pistolet. Elles entrèrent dans la cible et explosèrent comme prévu, deux secondes après l’impacte.

Après ce rude entraînement, je décidais de ne pas manger, il faisait trop chaud. Il était 20h00. Une alarme se déclencha dans la demeure. Des lumières rouges qui sortaient des lampes. Le système de sécurité s’était activé. Le portail avait été forcé. Des portes blindées se mirent à couvrir les portes, les fenêtres et les conduits d’aération. J’étais dans le halle pour aller regarder la télévision. Je décidais d’aller dans ma chambre. Les portes me demandèrent un code avec un boîtier, une empreinte digitale et un code vocal. Une fois arrivée dans ma chambre, je m’armais de mes pistolets SRVSM et je les armai en plomb. Je poussais un tableau et un coffre à combinaison électronique s’avança vers moi. Je tapais le code : 124.369.14*1487#. Le coffre ne s’ouvrit pas mais une porte secrète s’ouvrit sous mon lit — mon lit se poussa vers le mur automatiquement — et j’y entrais. Là se trouvait tout le système de sécurité. Je regardais les écrans de sécurité : le manoir était encerclé d’hommes cagoulés. Ils essayèrent de forcer les portes au chalumeau. La porte d’entrée s’ouvrit. Cinq hommes entrèrent avec deux Uzis chacun et des grenades de toutes sortes mais aucunes ne ressemblaient à des boucliers d’argent que procurait Silver à Urdmann.

Sans tardé, j’ouvris toutes les portes du manoir, arrêtais la sirène qui m’éclatait les tympans et la lumière qui, elle, ne me faisait pas voir la vie en rose. Les hommes furent surpris. Sans perdre de temps, je me rendis dans la pièce voisine du halle. Les hommes mirent tous un masque à oxygène. Les hommes avaient lancer une grenade fumigène. Heureusement, je n’avais pas désactivé tout le système de sécurité. 1) La police avait été prévenue automatiquement par l’alarme. 2) Le système de désenfumage s’activerait dès qu’il aura détecté la fumée, ce qui ne tarda pas. Une fois la pièce dégagée, je puis voir les hommes. Ils s’étaient tous éparpillés dans la maison. Par chance, aucun n’était venu vers moi. Je profitais de cette occasion pour m’occuper des hommes de main dehors. J’ouvris la porte et là, je vis un mercenaire s’approcher de moi. Je l’attendis. Une fois arrivée à l’angle de la porte, je lui donna un coup à la gorge avec le tranchant de ma main. Il tomba par terre. Je regardais son équipement. Deux Uzis et des grenades. A l’intérieur de ses vêtements, je vis qu’il avait une carte d’identité qui était la mienne, enfin une copie. Un plan du manoir avec tous les passages secrets. Les systèmes de sécurité et le reste. Normale qu’il se soit pointé avec des chalumeaux. Même chose pour Winston, sa carte d’identité mais c’était tout. J’entendis des bruits de pas. Un mercenaire venait vers moi en criant :
— Dis Pat, tu l’as trouvée cette garce ? Hoho ! Pat… Pat ?
— Non, c’est Lara !
Dès que l’homme m’eut vue, il avait une expression de peur et de surprise sur son visage. Avant de lui laisser le temps d’appeler ses petits copains, je lui donna un coud de pied latéral dans la tête, ce qui l’assomma. Je fouillais cette homme : il avait le même équipement que l’autre. Je vis une ombre dans ma chambre. Il ne cherchait pas que moi, mais autre chose. Soudain, je me rappelais l’appel téléphonique de M. X, ils étaient venus cherché l’artefact espagnole, il le voulait mais pourquoi ? Je pris la radio d’un mercenaire assommé. J’attacha le micro derrière mon oreille et l’écouter était dans l’orifice de mon oreille. J’entendis un mercenaire :
— Rien dans la chambre de la garce.
— Bah t’es pas le seul à rien trouver, répondit un mercenaire.
D’un coup, un mercenaire descendit les escaliers. Il m’avait vu.
— Vite les gars, elle est dehors, devant la porte d’entrée !
— me*** ! dis-je.
— Bouge pas O.K. ? me dit un mercenaire.
— N… Oui , lui répondis-je.
Des mercenaires m’encerclaient. Je renonçais à essayer de le tuer.

Leur chef arriva.
— Chère Lara, vous me reconnaissez ?
— Non.
— Ah oui, suis-je bête, j’avais un déformeur de voix.
— Pour répondre à votre question, oui, vous êtes bête.
— Insolente ! Alors, où est l’artefact ?
— Qu’est-ce que ça peut vous faire ?
— Si vous le prenez sur ce ton… Amenez l’otage.
Trois mercenaires arrivèrent avec Winston.
— Alors Lara, voulez-vous prendre la parole ?
— …
— J’attends ! Où est l’artefact ? !
— …
— Vous voulez garder le silence à ce que je vois. Winston, à quelle chose de votre corps tenez-vous le moins ?
— A mes… mes doigts.
— Lara, voyez-vous ce que je vais faire ?
— Non.
— Winston, vous allez perdre vos doigts.
— N… N… Non ! dit Winston dans la peur.
— Arrêtez ! prononçai-je. Je vais vous le dire.
— Vous devenez plus raisonnable, Lara.
— A une seule condition.
— La quelle ?
— Dites-moi votre nom, lui répondis-je.
— Après avoir parler très chère.
— Ici, il y a un portrait, poussez-le et tapez sur le clavier : 0101457.
Une fois que M. X eut ouvert la porte il entra dans la pièce secrète. Il en sortit avec l’artefact.
— Alors, c’est quoi votre nom ?
— Je n’y vois aucun inconvénient puisque vous venez avec nous. Je m’appelle Boris Natla.
— Le fils de Jacqueline Natla ?
— Oui.
— Mais qu’est-…
Quelqu’un m’assomma.

[A suivre...]

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Dernière édition par Kurtis91 le 03 Aoû 2005, 09:56, édité 3 fois.

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Second chapitre : TENTATIVE D’ÉVASION

Je me retrouvais dans une cellule. Aucune trace de Winston. Aucun garde ne surveillait, aucunes caméras à vue d’œil. Je m’inquiétais pour Winston. Je fouillais la cellule. Des gravures qui comptent les jours avec des chiffres romains, des bris de verres qui ne faisaient même pas un millimètre.
Réfléchis Lara, qu’est-ce que ces bouts de verres font là ? Une bagarre ? Non, il n’y a pas de sang. Une bouteille… Il y a trop de choses possibles ! songeai-je.
Sans trouver de choix plausible, je décida donc d’analyser la porte. Elle était en métal, non blindé vu son aspect (elle était toute tordue mais résistait encore).
— Facile, je vais tirer dans la ser…
Je m’aperçus que je n’avais plus mes pistolets.
— Double me*** ! Ils m’ont tous pris ces salauds ! Au moins ils m’ont laissé ma queue de cheval avec mon chouchou explosif.
J’écrasais mon chouchou très fort dans ma main et le plaça dans la serrure. Au bout de dix secondes, la serrure explosa dans un pouf silencieux. La porte était maintenant ouverte.
— Très utile ce chouchou, surtout silencieux !
Je sortis de la cellule. Il y avait une porte qui donnait sur la salle qui avait trois cellules. Cette porte n’était pas verrouillé. Je l’ouvris et j’arriva dans un grand halle. Premier objectif, m’armer. De l’autre côté du halle, il y avait une autre porte, j’y entra. J’arrivais dans une salle petite, sombre et plutôt ancienne sauf une porte de métal blindé qui faisait cinq centimètres d’épaisseur. Il y avait un boîtier électronique. Inviolable.
— Les gens écrivent souvent les codes… j’espère qu’ils sont assez bêtes pour l’avoir fait.
Je fouillais la chambre de fond en comble : l’armoire, sous le lit, sur le lit, même dans la couette. Rien quand je m’occupais d’un miroir. Un pressentiment me disait de briser la glace.
— Si je la casse, je risque de faire du bruit et logiquement alerter toute la baraque. Alors ?… Allez, je ferme la porte et puis on verra !
Je ferma la porte, m’approcha du miroir et lui donna un coup de pied. J’en étais sûre, le miroir était teinté et cachait une pièce secrète. J’y entra, il n’y avait personne — sauf moi évidemment. Je regardais la pièce, des ordinateurs allumés mais ils n’avaient rien d’intéressant, juste une connexion Internet haut débit. Je remarqua un papier à côté d’un ordinateur. Il y était inscrit : 13.9.18.15.9.18. Je m’interrogeai sur ce code mais rien. J’allumai un ordinateur. Je regardai ces fichiers, mais rien d’intéressant, juste un fichier qui contient des codes et qui parlait des codes. Il parlait des nombres et des lettres comme : 1 = A, 2 = B.
Le code, ce qui donnait : M.I.R.O.I.R. Quand je me souvins de la rue du rendez-vous : Mirror, ce qui signifiait Miroir en français. Qu’avait-il avec ces miroirs ?

Sans plus tardé, j’allais ouvrir la porte. Derrière, bonheur. Mes « bijoux » étaient là, mes SRVSM. Je les pris et les rangèrent dans mes hostlers que j’avais pris avant. J’avais retrouvé ma partie manquante. Il n’y avait rien d’autre dans cette pièce. Je sortis de la pièce mais aussi de la salle ancienne. J’arrivais dans le halle et montait les escaliers. Pas de porte à droite mais une porte à gauche ; je m’y dirigeais. Je regardais à travers la serrure. Un garde était derrière la porte.
— Trop facile…
Je reculai d’un mètre de la porte et courus vers la porte pour l’enfoncer.
« Vlam ! » La porte frappa de plein fouet le mercenaire.
— Je crois que cet homme est fatigué, dis-je.
Il n’avait que deux Uzis comme les attaquants de ma demeure.
— Alors Winston, vous … parler pour …
Je n’entendis pas le reste, la voix était étouffée. Je regardais la porte d’où provenait la voix. Je m’en approchai quand j’entendis :
— Winston, Lara est avec nous, elle vous à sauvé la vie de vos doigts, dîtes-nous tout ce que vous savez sur elle pour ne pas perdre vos doigts et la vie de Lara… enfin nous la couperons petit à petit… dit Boris d’une voix doucereuse.
— Vous pouvez toujours attendre, jamais je ne trahirait Miss Croft !
— Très bien…
La porte s’ouvrit doucement, je me cachais derrière la porte. Par chance, Boris ne me voyait pas. Il partait à l’autre porte, il ne m’avait toujours pas vu.
— Miss Croft, vous cachez ne sert à rien.
Je ne répondis pas.
— Allez répondez, vous êtes derrière la porte que je viens d’ouvrir.
— Que voulez-vous ?
— Savoir Lara, savoir…
— Savoir quoi ?
— Ma mère ! Vous l’avez tué !
— C’est elle qui s’est tué ! ripostai-je.
— Ah oui, pourquoi ne l’avez-vous pas aider ? dit-il.
— Je ne pouvais pas la sauver !
— J’ai maintenant vingt ans. Elle est morte à mes douze ans ! C’est dur de se passer d’une mère.
— Moi je l’ai perdu aussi ma mère, je sais que c’est dur…
— Taisez-vous, vous personne ne pouvait l’aider. Moi oui, vous !
— Je vous dit la vérité !
— Nous le vérifierons ensemble…
— Hein ?
— Emmenez-la ! ordonna-t-il.
Sans attendre, je courus vers les escaliers et voulut sortir. Des gardes arrivèrent. Il y avait cinq mercenaires. Je pris mes pistolets.
— Pistolets : balles incendiaires.
« Clic » Je tirais sur les gardes et vidait une cartouche de chaque pistolet. Les hommes brûlaient.
— C’est chaud ce soir, non ?
Je rechargeais mes pistolets et tirai mes balles explosives dans la porte de bois. Elle explosa sans problème. Je sortis du manoir. Par pure chance, le portail était ouvert.

Je pris une moto qui était garée parmi les autres. Je la fit avancé à toute allure pour sortir. Le portail était à vingt mètres. Je m’en approchai.
— Allez, allez !…
Le portail commençait à se fermer grâce à un système automatique — si ils devaient venir ici pour ouvrir le portail à chaque fois qu’il y a une voiture. Je commençais à m’approcher et je passais de justesse. Je pris la petite route qui menait à Rome ; j’étais donc en Italie.

[A suivre...]

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MessagePosté: 22 Juil 2005, 19:56 
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Troisième chapitre : LA LEGENDE

Tout en me dirigeant à Rome, je m’inquiétais pour Winston. Il était prisonnier pas ces monstres. Je devais d’abord aller faire un tour chez une amie qui habitait à Rome — je suis connue sur toute la planète ! Une fois à Rome, je décidais d’aller directement chez mon amie. Je devais me renseigner sur Boris Natla.
— Enfin arrivée…, dis-je.
— Lara, tu as fait bonna routa ? me demanda mon amie avec un accent Italien.
— Oui, très bonne Giulia.
— Tant mieux.
— Désolée de précipiter les choses mais, n’aurais-tu pas des informations sur Boris Natla ? demandai-je.
— Boris Natla ? Tu le connais ? C’est une mauvaise fréquentation.
— J’ai pu le constater… dis-je à vois basse.
— Pardon, Lara ?
— Non, rien.
— Et bien, j’ai entendu dire qu’il cherchait un artefact…
— Oui, j’ai vérifier… dis-je en lui coupant la parole.
— Il voudrait faire renaître la vérité.
— La vérité ?
— Oui, dit-elle en Italien — si. C’est tout ce que je sais Lara.
— C’est déjà pas mal. Je vais faire un tour en ville.
— N’oublie pas que nous dînons à 21h30, cria-t-elle.
Giulia avait le défaut de s’inquiéter pour moi, c’est la mère que je n’ai jamais eu.

Je montais sur la moto et parais dans la zone industrielle. Je recherchais un historien qui était spécialisé dans l’histoire de l’Italie. J’en trouvais un dans la rue… essayez de deviner : Specchio. Specchio signifie « Miroir » en Italien.
— Ils sont vraiment fascinés par les miroirs…
J’entrais dans la pièce. Personne au comptoir. Il y avait une cloche ; je la sonna.
« Ding ding, ding ding ! »
— J’arrive, dit le marchand en Italien.
Une fois qu’il fut arrivé au comptoir, je lui posai la question suivante en Italien :
— Savez quelque chose sur une chose qui faire « renaître » la vérité ?
— Renaître la vérité, oui bien sur. Mais c’est une légende ancienne.
— Pouvez-vous me la raconter ?
— Bien sur !
— Ah…
— Mais ça coûte 120 € !
Le truc qui casse tout…
— 120 € ? ! m’exclamai-je. Très bien.
Je lui donnais 120 €.
— Voici la légende. On dit qu’ici, en Italie, existait un miroir qui pouvait dire la vérité. Ce miroir pouvait non seulement dire la vérité, mais la vérité qui se passera dans le futur. Des personnes voulaient s’en emparer mais elles se firent dupés par le pouvoir du miroir qui leur faisait voir un trésor. Toute leur vie, ils étaient devant le miroir en train de contempler leur trésor futur. A la fin de leur vie, aucun n’eut un seul trésor. Le miroir le montrait bien la vérité, mais pas la leur, celle d’une autre personne. Certains disaient qu’ils s’étaient vus dans le miroir avec le trésor mais nous avons trois hypotèses :
Soit c’était leur reflet, une dimension parallèle qui montrait une autre vie ou soit la folie. Voilà toute la vérité.
— Peut-il dire la vérité du passé ? demandais-je.
— Bien sur.
— Très bien, merci.
Je m’en allais de la boutique.
— Alors comme ça, Boris veut partir à la recherche du miroir pour savoir la vérité sur la mort de sa mère. Je suis dans d’beaux draps !
Je m’aperçus qu’il était 21h45.
Giulia va me passer un de ses savons ! songeai-je.
Vite, il faut que je rentre !

Une fois arrivée à la maison, Giulia me passa un savon comme prévu. A table, j’avais le choix entre pizza — surprise — et des pâtes.
— Alors Lara, qu’as-tu fait pendant tout ce temps ?
— Et bien je suis allé voir un historien pour me renseigné sur ton truc de la vérité.
— Et alors ?
— Je n’ai rien appris, lui mentis-je.
Je ne voulais pas qu’elle puisse parler sous la torture si Boris la retrouvait.
— Pendant que j’y pense, tu n’aurais pas un ordinateur avec une connexion Internet ?
— Bien sur Lara ! Je ne suis pas née de la dernière pluie !
— Très bien.
Une fois le repas terminé, je sautais sur l’ordinateur. Je tapais dans le moteur de recherche Google : Miroir de la Vérité. Le moteur de recherche me trouva un site expliquant plus de chose que l’historien. Il disait que ce miroir serait près de la ville Pizz. Et que quelqu’un cherchait à cet endroit avec des ordinateurs ultra-sophistiqué. Ah, Boris est sur le coup à ce que je vois. Le site proposait une carte thermique des alentours de Pizz. Alors, il y a une forte concentration dans cette zone. Un village voisin à Pizz. Soudaint, la zone thermique bougea et disparu. Je regardais la zone où était d’abord la chaleur. Je cliquais dessus. L’écran m’afficha que Boris faisait des fouilles par-ici.
— Donc il suit cette chaleur. Maintenant, ça m’étonnerait qu’il y arrive. Bon, il est temps d’aller se coucher.
J’allais me coucher en même temps que Giulia.
— Bonne nuit Giulia.
— Bonne nuit Lara.

[A suivre...]

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Dernière édition par Kurtis91 le 03 Aoû 2005, 09:59, édité 1 fois.

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Chapitre quatre : NUIT D’ENFER

Une fois arrivée dans ma chambre, je sautais dans mon lit. Je m’endormis aussitôt. Je me retrouvais dans une grotte sombre, sans lumière… J’avançais tout droit. J’arrivais dans une autre pièce qui était décorée de sang et de corps mutilé. J’en avais la nausée. Les corps n’avaient plus de nombrils ou plus de nez ou les deux et encore plus… Je remarquais qu’un corps avait tous ses membres. Je m’en approcha. Je l’examinais. Il était attaché au mur par des chaînes solidement attachés aux mains et aux pieds. Je pris le squelette de mes deux mains, et le poussa vers la gauche. Les chaînes étaient sur un système coulissant. Un interrupteur qui marchait avec une autre pièce qui avait la forme… D’un coup, je vis flou et entrais dans l’interrupteur. Le noir complet. Je me retrouvais dans une pièce humide, froide. Elle avait un miroir au centre de la pièce. Je m’en approchais quand un mécanisme de sécurité s’enclencha. Des grilles entourèrent le miroir, les portes se refermèrent avec une lourde pierre plate.
— Ca se complique…
Une porte s’ouvrit. Des squelettes en sortirent. Je pris mes SRVSM et prononça :
— Pistolets : balles explosives.
« Clic ! »
Je tirais dans les sacs d’os pour les désintégrer. Une fois tous explosés. D’autres venaient encore.
— Quand y en n’a plus, y en a encore !
Je les explosais tous. Avant que d’autre reviennent, je dis à mes pistolets :
— Pistolets : balles enflammées.
Je tirai deux balles à l’entrée de la porte. Les balles étaient en feu en sortant des mes armes. Elles enflammaient l’entrée. J’espérais que les monstres reculeraient devant le feu. Ils le firent. Je m’approcha du miroir en tirant des balles explosives dans les grilles. Il brillait. Je me regardais et j’entendis une voix :
— Lara, le miroir a piégé des personnes. La prochaine, ce sera toi. Tu es ma cible. Tu n’échapperas pas à la vérité. Je te retrouverais ! Tu ne peux pas m’échapper !
— Où êtes-vous ?
— Je suis ton reflet Lara, j’en ai assez de vivre dans cette glace.
Le reflet ne faisait pas du tout ce que je faisais.
— J’en ai marre de faire la même chose de quelqu’un d’autre. Je vais te tuer et je prendrais ta place !

Je me réveilla en sursaut.
— Oh, quel cauchemar !
Je me rendormis. Je refis le même rêve, sauf que cette fois, un personnage était en train de me sauver. J’étais à terre.
— Kurtis ! ? m’exclamai-je. Que fais-tu là ?
— Je te sauve la vie, je pense.
— Quoi, mais c’est un rêve.
— En effet, mais je rêve aussi en ce moment.
— Ca veut dire que nous sommes dans le même rêve ?
— Bah oui.
« Dring ! ! ! ! ! ! ! ! »
Mon réveil sonna.
— Oh, déjà.
Je descendis.
— Alors Lara, tu as passé une bonne nuit ?
— Pfff, à part mes cauchemars oui.
— Des cauchemars ? Quoi comme cauchemar ?
— Oh, c’est flou, puis ça voulait rien dire.
— D’accord.
Je pris un œuf sur le plat et du bacon avec un thé. C’était délicieux comme petit-déjeuner.
— Giulia, je sors et je pense que je ne reviendrai plus, je pars en fait.
— Oh, et bien fais bonne route !
— Merci, pend bien soin de toi surtout !
Je partis. Je m’arrêtais à un café — pour boire un café. J’allais voir le barman.
— Un café s’il vous plaît, dis-je en Italien.
— D’accord mameselle !
Le barman me servit un café. J’allais m’installé à une table quand quelqu’un entra dans le café.
— Kurtis ? !
— Euh, Lara !
— Que fais-tu ici.
— Je bois un café.
— Dis, tu as rêvé cette nuit Kurtis ?
— Oui et toi ?
— Plutôt cauchemardé !
— Bah comme moi.
— En fait tu étais dans mon rêve Kurtis.
— Toi aussi.
— Attends, tu m’as bien dit : En effet, mais je rêve aussi en ce moment ?
— Oui !
— Je crois que je vais m’évanouir.
— Allons chez moi Lara, nous allons discuter.
— Oui.
Je paya le barman. Je montais sur ma moto et suivit Kurtis.
— Tu habites en Italie ?
— Non mais j’ai une demeure.
— Ah.
Nous arrivâmes chez Kurtis. J’entrais dans sa villa et lui dit :
— Alors comme ça, tu étais dans mon rêve et j’étais dans ton rêve.
— Oui, ça m’effraye !
— Pourquoi ?
— Imagine que je sois dans mes fantasmes !
— Euh… Oui, là, mais comme ça je pourrais mieux te connaître.
— Hein, non un autre genre de fantasme.
— Ah, mais c’est ta vie privée, tu es dégueulasse !
— C’est toi !
— Non c’est toi ! ripostai-je.
— Bon, on se calme.
— Tu ferais mieux de calmer tes pensées…
— Pardon ?
— Non rien.
— Bon, tu viens voir mes recherches ?
— Sur quoi ?
— Bah le Miroir de la Vérité voyons !
— Ah bien sûr !
— Donc, je pense que quelqu’un recherche ce miroir. Ici, regarde, il y avait une zone de chaleur et quelqu’un fouillait.
— Oui, je sais c’est qui.
— Ah bon ?
— Oui, Boris Natla.
— Natla, ça me dit quelque chose.
— Le fils de Jacqueline Natla.
— Ah oui, elle cherchait quelque chose il me semble.
— Oui, le Scion des Atlantes.
— Voilà. Et bien il y a un artefact espagnole qui permet d’ouvrir une porte qui mènerait au miroir. Attends, Boris me l’a volé !
— T’es bien une fille…
— Qu’est-ce que je suis censé comprendre ?
— Que tu as laissé quelqu’un te voler.
— Mouais.
— Bon, je reprends. Une fois l’artefact placé, la porte s’ouvre. Il faut IMPERATIVEMENT reprendre l’artefact. Tu t’approches du Miroir et là, les pièges du rêve s’activent. Tu présentes l’artefact aux squelettes, ils te laissent tranquilles et repartent. Ensuite tu le présente aux grilles, elles s’ouvrent. Après, tu le présentes au miroir qui t’obéira au doigt et à l’œil. Du genre, je veux savoir la vérité de mon proche futur etcetera. La fin du Monde même. Le contrôle total sur l’univers.
— Il faut absolument que j’arrête Boris.
— Tu sais où il habite ?
— Bien sûr !
— Ah bon !
— On pourra allez voir demain.
— Oui.
— Bon, bah on va se coucher ?
— Ensemble ?
— Si tu veux !
Je lui donna une gifle.
— Bonne nuit Lara.
Je ne lui répondit pas. Je m’endormis.

[A suivre...]

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dommage que la fanfic ne soit pas finie, elle était super bien!!!


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