Voilà ma première FanFiction, alors, dites-moi comment c'est dans les moindres petits dérails
Lara Croft Tomb Raider le Miroir de la vérité
Premier chapitre : APPEL MYSTÉRIEUX
Après ma quête en Espagne, j’étais rentré au manoir Croft. Je demandais à Winston d’aller me faire un Granisado, une boisson espagnole — c’est de la glace pilée au citron, délicieux. Une chaleur infernale régnait sur l’Angleterre. En faisant, comme chaque matin, mon rituel sportif, je reçus un appel téléphonique d’une personne inconnue. Cette personne avait une voix extrêmement aigu ; je m’aperçus immédiatement qu’elle avait un déformeur de voix. Je distinguais tout de même une voix d’homme — adulte, cela va de soit. Elle prononça :
— Miss Croft, nous savons que vous avez un artefact que vous avez trouvé en Espagne. Nous en avons besoin. Donnez-le nous demain à 17h50 à la librairie de la rue : Mirror.
— En quel honneur devrai-je vous le donner, ripostai-je
— Chère Lara, vous avez du répondant, mais nous ne lâcherons pas prise.
— Je suis contente pour vous.
— Ne jouez pas à ce petit jeu là avec moi. Nous pourrons vous payez des millions.
— Intéressant, mais je pense que j’ai déjà assez pour satisfaire mes plaisirs.
— Très bien Miss Croft, vous l’aurez voulu..
Il raccrocha. Winston m’avait apporté le granisado pendant que je parlais à ce M. X.
Vers midi, je décidais d’aller faire un tour dans la cave. Je voulais savoir d’où venait cet appel. J’avais installé récemment un système de repérage téléphonique — on n’est jamais trop prudent. M. X avait appelé d’une cabine téléphonique à Londres mais j’eu du mal à le repérer car il avait placé un système de connexion satellite et une balise qui envoie de fausses données, judicieux, soit, mais pas inviolable. D’une cabine téléphonique, je laissais tombé, des tas de personnes sont déjà passés. Et puis la police ne pourrait rien faire non plus. Avec la chaleur, je décidais d’aller faire un exercice de tir — la salle était fraîche — pour me refroidir. Une fois arrivée dans la salle, j’allais dans le coffre qui contenait mes armes qui avait un nouveau système vocal : SRVSM — Système de Reconnaissance Vocale à Services Multiples. Ils pouvaient lancer des balles à blanc, incendiaires, explosives, en plomb, éclairante et la nouveauté, je pouvais leur dire quand se déclancher. Des cibles normales apparurent, j’utilisais pour ça des balles de plomb. Une énorme cible en acier se dressai devant moi.
— Pistolets : balles perforantes explosives deux secondes après impactes.
J’entendis un délicat « clic » sortir de l’intérieur des pistolets. Je tirai une balle de chaque pistolet. Elles entrèrent dans la cible et explosèrent comme prévu, deux secondes après l’impacte.
Après ce rude entraînement, je décidais de ne pas manger, il faisait trop chaud. Il était 20h00. Une alarme se déclencha dans la demeure. Des lumières rouges qui sortaient des lampes. Le système de sécurité s’était activé. Le portail avait été forcé. Des portes blindées se mirent à couvrir les portes, les fenêtres et les conduits d’aération. J’étais dans le halle pour aller regarder la télévision. Je décidais d’aller dans ma chambre. Les portes me demandèrent un code avec un boîtier, une empreinte digitale et un code vocal. Une fois arrivée dans ma chambre, je m’armais de mes pistolets SRVSM et je les armai en plomb. Je poussais un tableau et un coffre à combinaison électronique s’avança vers moi. Je tapais le code : 124.369.14*1487#. Le coffre ne s’ouvrit pas mais une porte secrète s’ouvrit sous mon lit — mon lit se poussa vers le mur automatiquement — et j’y entrais. Là se trouvait tout le système de sécurité. Je regardais les écrans de sécurité : le manoir était encerclé d’hommes cagoulés. Ils essayèrent de forcer les portes au chalumeau. La porte d’entrée s’ouvrit. Cinq hommes entrèrent avec deux Uzis chacun et des grenades de toutes sortes mais aucunes ne ressemblaient à des boucliers d’argent que procurait Silver à Urdmann.
Sans tardé, j’ouvris toutes les portes du manoir, arrêtais la sirène qui m’éclatait les tympans et la lumière qui, elle, ne me faisait pas voir la vie en rose. Les hommes furent surpris. Sans perdre de temps, je me rendis dans la pièce voisine du halle. Les hommes mirent tous un masque à oxygène. Les hommes avaient lancer une grenade fumigène. Heureusement, je n’avais pas désactivé tout le système de sécurité. 1) La police avait été prévenue automatiquement par l’alarme. 2) Le système de désenfumage s’activerait dès qu’il aura détecté la fumée, ce qui ne tarda pas. Une fois la pièce dégagée, je puis voir les hommes. Ils s’étaient tous éparpillés dans la maison. Par chance, aucun n’était venu vers moi. Je profitais de cette occasion pour m’occuper des hommes de main dehors. J’ouvris la porte et là, je vis un mercenaire s’approcher de moi. Je l’attendis. Une fois arrivée à l’angle de la porte, je lui donna un coup à la gorge avec le tranchant de ma main. Il tomba par terre. Je regardais son équipement. Deux Uzis et des grenades. A l’intérieur de ses vêtements, je vis qu’il avait une carte d’identité qui était la mienne, enfin une copie. Un plan du manoir avec tous les passages secrets. Les systèmes de sécurité et le reste. Normale qu’il se soit pointé avec des chalumeaux. Même chose pour Winston, sa carte d’identité mais c’était tout. J’entendis des bruits de pas. Un mercenaire venait vers moi en criant :
— Dis Pat, tu l’as trouvée cette garce ? Hoho ! Pat… Pat ?
— Non, c’est Lara !
Dès que l’homme m’eut vue, il avait une expression de peur et de surprise sur son visage. Avant de lui laisser le temps d’appeler ses petits copains, je lui donna un coud de pied latéral dans la tête, ce qui l’assomma. Je fouillais cette homme : il avait le même équipement que l’autre. Je vis une ombre dans ma chambre. Il ne cherchait pas que moi, mais autre chose. Soudain, je me rappelais l’appel téléphonique de M. X, ils étaient venus cherché l’artefact espagnole, il le voulait mais pourquoi ? Je pris la radio d’un mercenaire assommé. J’attacha le micro derrière mon oreille et l’écouter était dans l’orifice de mon oreille. J’entendis un mercenaire :
— Rien dans la chambre de la garce.
— Bah t’es pas le seul à rien trouver, répondit un mercenaire.
D’un coup, un mercenaire descendit les escaliers. Il m’avait vu.
— Vite les gars, elle est dehors, devant la porte d’entrée !
— me*** ! dis-je.
— Bouge pas O.K. ? me dit un mercenaire.
— N… Oui , lui répondis-je.
Des mercenaires m’encerclaient. Je renonçais à essayer de le tuer.
Leur chef arriva.
— Chère Lara, vous me reconnaissez ?
— Non.
— Ah oui, suis-je bête, j’avais un déformeur de voix.
— Pour répondre à votre question, oui, vous êtes bête.
— Insolente ! Alors, où est l’artefact ?
— Qu’est-ce que ça peut vous faire ?
— Si vous le prenez sur ce ton… Amenez l’otage.
Trois mercenaires arrivèrent avec Winston.
— Alors Lara, voulez-vous prendre la parole ?
— …
— J’attends ! Où est l’artefact ? !
— …
— Vous voulez garder le silence à ce que je vois. Winston, à quelle chose de votre corps tenez-vous le moins ?
— A mes… mes doigts.
— Lara, voyez-vous ce que je vais faire ?
— Non.
— Winston, vous allez perdre vos doigts.
— N… N… Non ! dit Winston dans la peur.
— Arrêtez ! prononçai-je. Je vais vous le dire.
— Vous devenez plus raisonnable, Lara.
— A une seule condition.
— La quelle ?
— Dites-moi votre nom, lui répondis-je.
— Après avoir parler très chère.
— Ici, il y a un portrait, poussez-le et tapez sur le clavier : 0101457.
Une fois que M. X eut ouvert la porte il entra dans la pièce secrète. Il en sortit avec l’artefact.
— Alors, c’est quoi votre nom ?
— Je n’y vois aucun inconvénient puisque vous venez avec nous. Je m’appelle Boris Natla.
— Le fils de Jacqueline Natla ?
— Oui.
— Mais qu’est-…
Quelqu’un m’assomma.
[A suivre...]