Kikoo à tous!
C'est pas mal! Apparemment j'avais besoin d'un pti break avec ça, et pi celui là j'ai pas mis longtemps à l'écrire vue que ça me venais tout structurer. Ça fait bizarre quand on ne fonctionne autrement, moi qui d'habitude écrivais mes idées puis les améliorant en faisant des résumé et enfin le texte. Alors que là c'est sortis tout seul comme par enchantement. Si je devais avoir des texte aussi bon grâce à cette méthode, vous auriez pas des masse de texte de ma part.
Hitsumei a écrit:
J'aime bien ton texte Vivien! Les événements en Libye t'ont inspiré je vois.
Découvert! Ha ben me*** alors!
Edition le 01/05/2011
Attention les yeux car vous n'allez pas en revenir, j'ai écrit la suite.Ils vont vous piquez gravement alors sortez la paire de solaire et hydratez lezs bien avant.
Une mission humanitaireCela faisait à peine deux mois, deux mois que j'étais de retour à TRO. Mes amis me manquaient tant, la timidité de Nathalie, les délires de notre Juju interplanétaire, la douceur d'Heyfa. Un membre du pentagone venait dans le QG, se trouvant à l'entrée au près de l'accueil il demandait à me parler. Sachant cela je partis à sa rencontre.
«Qui êtes vous pour venir ici?
-: Êtes vous celui qu'on appelle Kain?
-: Le seul et l'unique, et vous êtes?
-: Major Adam Marshal du pentagone.
-: Qui me dit que vous êtes du pentagone?
-: Vous allez avoir un appel du président.
-: Lequel?
-: Celui des États-Unis d'Amérique.»
J'observais le costume de cérémonie qu'il portait et au vue des décoration et des épaules le grade prononcé semblait le même que celui affiché. Je suivais ce type laissant mes amis de côté encore une fois, «
Pourquoi devais-je partir?» Aucune idée. Bien que j'en avais nullement envie, je me le devais car comme le dis un personnage d'un film «
Un grand pouvoir implique de grandes responsabilité». Ce grand blond, enfin quand je dis grand en faite il est sensiblement grand. Je le dépassait de peu, avec son costume j'avais du mal à déterminer sa musculature bien que présent à mon avis. Le suivant vers sa voiture officielle, je pouvais sentir la présence des autres derrière moi sans me retourner. Mais je sentais surtout tout le poids du regard d'Heyfa sur moi, «
Pourquoi me regarde t-elle comme ça?» Voilà une bonne question qui ne risquait pas de trouver de réponse avant un très long moment. Autant dire avant mon retour. Je devais aller au pentagone pour recevoir une mission de la plus haute importance, en rapport avec la sécurité nationale. J'avais abandonner de lui tiré les vers du nez, avec un peu de patience je le saurai. Quelques heures de vol plus tard au lieu du rendez vous je pouvais voir des généraux assis tranquillement derrière ce bureau.
«Vous allez peut être m'expliquer pourquoi je suis là?
-: Je suis le général John Simkins général en chef de l'état major.
-: Bien et les généraux derrière vous sont là pourquoi? La décoration?
-: C'est à moi que vous allez parler et je vous prie de changer de ton.
-: On me ballade depuis des heures sans une once d'explication, alors je suis assez énervé.
-: Je comprends tout à fait. Pour faire court j'ai une mission pour vous.»
Je suivais ce général sans grande conviction, un grand homme noir bien bâti, dans un costume de cérémonie d'un vert olive. J'entrais dans un grand bureau qui semblait être le sien, au vu de la taille de la pièce au moins 10 bureaux pourrai tenir sans exagération. Il n'avait rien à envier à un ministre, je le laissais s'installer à son aise puis il m'invitait à en faire de même. «
Depuis quand on me barde de mission?» «
Deux ans qu'il me lâche pas la grappe, et quand c'est pas eux c'est la reine.» «Tiens je me demande si je suis invité au mariage du pti.» «
S'il savait que sa mère est encore en vie, il nous ferai une attaque le pauvre. Va falloir que je me démerde pour qu'elle ne l'apprenne pas.»
«A quoi pensez vous?
-: Pardon?
-: Vous sembliez perdu dans vos pensé.
-: Excusez moi, je me demandais la raison de ma présence ici, et si j'étais invité au mariage du prince.
-: Je vois je n'ai qu'une réponse à vous fournir malheureusement.
-: Trêve de bavardage, pourquoi je suis là?
-: Lisez ce dossier, tout y est.
-: Bien! J'ai pas droit à une petite précision supplémentaire?
-: Tout ce que vous avez à savoir est dedans, je ne vous retiens pas...»
J'étais furax, bien qu'il soit général je me devais de lui remettre les points sur les i, et accessoirement sur le portrait aussi.
«Minute papillon! C'est quoi de ça? Je décide des missions que j'accomplis, je n'ai d'ordre à recevoir de qui que ce soit. En premier lieu je suis un civil donc vous n'avez aucune autorité sur moi! COMPRIS!»
«
Avait-il oublier mon état de civil durant le briefing?» «
Possible, mais au moins maintenant avec le choc, j'étais tranquille pour les années à venir.» Je regardais le classeur bleu marine qui détenais une éventuelle mission, j'y trouvais différent rapport sur le terrain en catastrophe. Une partie de l'armée semblait avoir pris le large vers le Népal suite à l'effondrement du grande partie des neiges, détruisant quelques villages mais surtout un temple bouddhiste. Les malheureux n'avait pu voir leur fin. La mission qu'il proposait était de surveiller les environs que la leur se passe en toute sécurité, la reconstruction du village prendrait moins de temps si de des aides extérieure leur prêtaient main forte. Bien que dans l'ombre la mienne semblant rien, n'était pas de tout repos pour autant.
Non loin des lieux du drame j'observais la situation d'une tranquillité reposante. Étant désormais en partie vampire, mon coté animal plus éveillé que l'homme, guettait le moindre signe de danger par la nature. Le moindre mouvement de la terre, du vent, de la neige et etc... rien n'échappaient à mes sens. De tous en fonction c'était celui de l'instinct qui bossait le plus, la moindre anomalie psychique serai détecter analyser pour réaction quasi immédiate. «
Moi qui prenait ça pour une malédiction, ça à des avantages certain.» De mon poste d'observation l'instinct en constant travail m'alerta d'un danger imminent, puis la vue pris le relais me montrant un autre bloc de neige se fissurant petit à petit. S'en attendre je m'envolais pour les rejoindre et les prévenir et les aider à l'évacuation de la zone.
«Colonel un autre bloc commence à se détacher faut évacuer d'urgence!
-: En êtes vous sur?
-: Certain!
-: Major lancer la procédure d'évacuation!
-: Oui mon colonel.»
Une alarme se déclenchait pour l'évacuation prévenant les militaires et les civils du danger immédiat et du départ pour la survie de tous. Pendant que les militaires s'occupait de ça moi je partaient dans les hauteur voir le déroulement du détachement du bloc. «
J'espère qu'il auront assez de temps pour se tirer de là.» Je savais que je devais faire le vide pour garder le sang froid, mais dans une situation pareil ma moitié vampire bouillonnait de plus en plus. La fissure bien que légère s'approfondissait de minute en minute. Regardant vers le bas je pouvais voir des petits bonhommes s'agiter. Le temps passait si doucement que les secondes semblait des heures, j'espérais vraiment que j'aurai bien assez de mes capacité pour leur en donner plus si nécessaire.
Un fragment du bloc partis plus vite que le reste, grâce à la transposition je rejoignais la base et en explosant une table je m'en servais comme bouclier et attendais de pied ferme l'arrivant. Elle glissait doucement sur la grosse plaque et pris de la vitesse en quittant sa maman, positionné et préparer je comptais bien la stopper. Elle venait de plus en plus vite, alors que les militaires la fixaient du regard.
«Vous compter l'embrasser ou quoi? Tirez vous!!!»
Me regardant, effrayé ils cavalaient comme jamais de toutes leurs vie. Les courtes et faibles vibrations du sol me montrait l'approche imminente du bébé avalanche. Je savais qu'en relâchant mes muscles ainsi que mes articulations tout en souplesse pour toute sureté. Mon bouclier de fortune tendu devant je la réceptionnais mais avec la force acquise par la vitesse ainsi que le sol glissant je dus reculer de quelques centimètres. Accusant le coup même si léger soit-il, je repoussais en dehors de la base un petit tas.
Les hommes revenaient doucement vérifiant en hauteur si tout tenait encore, voulant accomplir leur mission ils craignaient que le reste leur tomberai sur la tronche. Cependant le départ précipité du pti avait fragiliser plus qu'à l'accoutumé, selon l'habitude montrer en rapport avec le temps. Regardant mon pti morceau de bois.«
Si la maman tombe, c'est pas avec ça que je l'arrêterai.» Je regardais autour de moi mais rien ne saurai m'aider pour ce qui va nous balayer.
C'est alors qu'elle venait vers nous dans un fracas sans précédant, alertant au passage ses futur victimes. Dans la panique la plus totale les hommes couraient encore et toujours, alors que je je fixais sa venue, plus elle se rapprochait plus le sol tremblait sous nos pieds. Les minutes passaient longuement comme précédemment. «
Je ne peux pas arrêter ça, alors je reste ici pour les aider à partir.» Elle descendait en gagnant de la vitesse avec le temps, je ne bougeais pas tant qu'il n'y avait plus personne. Un jeune lieutenant bloquer par une cheville écraser, une armoire tombé dessus le clouait sur place. Voyant ça je me rapprochais de lui et avec toute ma rage je la levais, ce qui lui permis de la retirer puis lâchant ça je l'aidais à avancer vers la sortie. Mais seulement oubliant l'avalanche qui nous menaçait de plus en plus, une seule chose me restait à faire.
Avec ma vitesse je me retrouvais devant lui et l'attrapant au niveau des pectoraux je tournais sur moi même et l'envoyais à ses frères d'armes. Suite à un très beau vol plané ses compatriotes le rattrapais, quand à moi laissant de coté ce pti détail m'emportait en dehors de la base. Ne voyant plus rien suite à mon enneigement, je me laissait emporter par la panique la plus totale. Agitant mes bras et jambes dans tout les sens, espérant de tout mon être ma survie. L'impression du ralentissement du temps m'étouffait plus que de raison. Alors que le déchainement continuait je me recroquevillais sur moi même dans la position fœtal. Après un longue course le calme revenait enfin. «
Enfin le calme c'est pas trop tôt, je commençais à en avoir marre de tourner comme une roue.»
«Bon! Ben! Maintenant on attend les autres! Naaaaaaannnnnn!»
Tentant de gratter, je me suis souvenus d'une chose. «
Mais dans quel sens je suis au juste?» Bien qu'évoluer dans la mort je pouvais tout de même sentir le froid m'entourant, ce qui ne m'inquiétait pas trop au vus du travail accomplis sur ce niveau. J'attendais l'arrivée des autres pouvant me sortir de là et ainsi déterminer ma position par rapport au sol. La peur de la mort naturel alimentait ma rage vampirique, alors que ma patience aidé par ma conscience exceptionnelle calmaient le jeu. Bien du temps passait pendant mon inactivité, «
Rester calme et ne pas bouger c'est pas simple, surtout dans mon cas.» «
Il est ptête temps de relativiser sur mon cas? Si je me souviens bien avant j'étais vivant mais depuis ma soi disante mort. Il bat toujours car je le sens, mais alors je le suis encore?» Plus le temps passait au ralenti pour ne pas m'aider du tout, plus je prenais du recul sur mon existence. «
Jamais avant je ne pensais à ça, comme quoi un événement comme celui là peut vous faire réfléchir.» «
Pourquoi l'Homme se remet en question que lorsque qu'il vit une expérience rapprocher de la mort?» «
Sommes nous si borné et stupide?» Au loin j'entendais des coups de pelle,
«D'ici que je m'en prenne une ça devrai pas tarder.
Hé ho! Y a quelqu'un? Me disait une voix étouffé doublé d'une étranglé.»
J'inspirai un grand coup pour avoir ensuite une bonne portée de voix, vallait mieux qu'il m'entendent ceux là. Je ne comptais pas rester ici jusqu'à la fin des temps. Je voulais sortir plus que tout au monde.
«IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIICIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!»
«
J'espère qu'il m'auront entendu avec ça, je pense pas pouvoir faire mieux.» Des voix étouffées me parlait pour mieux me localiser, j'ai répondu comme je pouvais. Cette fois c'était la fin de cette attente interminable, ma sortie m'ouvrait enfin les bras. Je sentis assez vite un pti truc dans la peau, même si la douleurs fut brève et légère. Ma rage explosait enfin, envoyant valser toute la neige qui restait sur moi je vis celui avec la pelle. La fureur se déchaînant je la lui pris pour la lui coller en pleine figure.
« La prochaine fois que tu me plante avec ça! Je te défonce avec et après je te la fais bouffer ABRUTIS!
-: Restez calme tout de même.
-: Rester calme? Vous êtes sérieux? Je suis la dedans depuis des plombes et cte con me planche sa pelle dans le dos et vous voulez que je reste calme? On verra si vous le serrez quand ça sera votre tour. Alors me***!
-: Je …
-: Stop! Ne me sortez pas le ''je vous comprends''.
-: J'allais juste dire que je vous remercie d'avoir sauvez mes hommes.
-: De rien.»
Je repartais de là quand à la cicatrice, ben y en à pas car ma peau se referme d'elle même. Je sais c'est bizarre pour vous mais moi c'est mon quotidien. De retour à Paris dans mon pays natal devant les bureaux de TRO, je repassais devant Éveline la réceptionniste me laissant passer car elle me connaissait très bien. L'ascenseur descendait lentement vers le sous sol voulu. «
Hé ben c'est pas trop tôt, espérons que je ne vais pas déranger.» Arrivé à destination les portes s'ouvraient, j'en descendait quand une voix m'interpella.
«VIVIEN!
-: Qu'est ce qu...»
Elle me sauta au cou étant face à face je tombais sur le dos. Ce qu'il y avait de plus bizarre dans cette scène était le fait qu'elle m'effrayait plus que ce que j'avais vécu dans la neige. Je ne saurai vous dire le pourquoi du comment mais il en était ainsi.
«J'ai eu si peur pour toi.
-: Allons du cal...»
C'est à ce moment précis que ses lèvres se collèrent aux miennes. Ne comprenant pas trop ce qu'il m'arrivait j'étais en mode passif. Lâchant son étreinte elle me regardait, les yeux plein de larmes le coeur soulagé de ma présence en ces lieux. Quelque chose avait changer en elle depuis un long moment, je l'avais sentis mais jamais je n'avais compris quoi.
«Bon arrête là! Tu va me dire ce qui t'arrive au juste?
-: Hé ben on a tout suivi dans la salle et quand tu a été enseveli j'ai cru que je t'avais perdu. Sur l'instant j'ai voulu mourir pour te rejoindre, mais une partie de moi me disait que tu vivait encore. On a attendu des heures entière, et tu es réapparu alors même si tu nous entendais pas on te soutenait...
-: Attends une seconde tu veux? Comment avez vous pu me suivre j'ai pas de...»
Portant ma main droite à mon oreille droite, je vis que le communicateur vidéo se trouvait présent à son poste. J'en revenais pas, depuis quand il logeait là. «
Serai-je si habitué à sa présence que je ne le sens même plus?»
«C'est surtout quand tu étais enfermé que j'ai réalisé mon amour à ton égard.
-: Tu es sérieuse? Toi qui disais que tu ne voulais pas être en couple! Tu me coupe la chique.»
La jeune femme timide se sentant bien seule avait laissé place à la jeune femme amoureuse, loin de m'en déplaire. «
C'est donc ça le changement, mais après tout elle me plait aussi.» Je la serrai dans mes bras et l'embrassais à mon tour. La regardant de nouveau je lisais tout le bonheur de l'instant qui lui conférai.