Desperate Croftlife
Je pensais avoir la vie la plus folle et la plus mouvementé de toutes les personnes vivant sur cette planète, mais en fait, je ne suis pas le seul au monde à vivre des aventures palpitantes jour après jour. Prenez la vie de mes amis : Lara, Amanda, Zip et Alister. A l'extérieur, on pourrait penser que ce sont quatre personnes tout à fait ordinaires. Cependant, Lara est une aventurière de renommé : elle est capable de brisé le coup d'un cocotier en 33 secondes et de manger des Bouritos en claquant des mains et en frappant Zip à coup de manchette. Amanda, avec un Q.I. plus faible qu'un mouton, est enceinte de son mari proxénète nommé Jean-Yves. Zip possède un club nommé le PQ+4, club qui est interdit aux moins de 21 ans. Et Alister, homme au foyer, tente de cacher son homosexualité en couchant avec Anaya. Ces quatre personnes sont mes meilleurs amis, et je vais vous raconter leur histoire.
Dans le grand manoir de Miss Croft, Lara et Amanda étaient en train de chercher Jean-Yves et Alister qui s’étaient cachés, après avoir cassé un des miroirs déformant de Lara qui lui donnait une poitrine deux fois plus gigantesque qu’elle ne l’avait déjà. Les deux hommes étaient introuvables depuis des heures entières.
Lara : Ils sont passés où ces deux PD ? Amanda : Eh ! Jean-Yves n’est pas PD d’abord ! C’est mon mari ! Lara : C’est ça, et ton mari se tape des nanas à longueur de journée ! Amanda : Nan, ce n’est pas vrai ! Il les initie à son travail. Lara : Mais bien sûr, et moi je suis la Reine d’Angleterre ! Amanda : Bah non, c’est notre voisine !
Amanda touchait sans arrêt à son pantalon en jean de taille basse ras la foufounne.
Lara : Tu vas arrêter de te toucher le c** ? Ca me stress ! Amanda : J’y peux rien ! Mon jean tombe et je n’ai pas mis de culotte ! Lara : Quoi ? Pourquoi ? Amanda : C’est Jean-Yves qui m’a dit de ne plus en mettre. Lui, il met pas de culotte ! Lara : Je sais, ça se voit.
Winston arriva de nulle part, tout sourire, avec du thé glacé et des petits gâteaux en forme de cœur, sur un plateau de verre orné de petits bijoux en cristal.
Winston : Qui veut goûter à mes délicieux petits gâteaux au chocolat ? Amanda : MOI !!!! MOIIIIIIIII !!!!
Amanda se précipita sur le plateau comme une furie et fit tomber le festin sur le sol, sous les yeux scandalisé de Lara et de Winston. Amanda, qui n'avait pas encore finit les dégâts, plongea dans les gâteaux et le thé en imitant le saut de l'ange, puis se roula et mangea tout ce qui était comestible. Winston aperçu Lara, au bord de la crise de larme.
Winston : Ne t'inquiètes pas Lara, j'avais prévu le coup cette fois-ci !
C'est alors que Winston sortit un deuxième plateau de la poche de son blouson Lacoste, qui contenait deux fois plus de thé glacé et de gâteaux au chocolat. Lara s'approcha de lui en ouvrant la bouche qui était d'une grandeur incroyable. On pouvait même entrevoir ses poumons au fond de sa gorge. Elle goba le plateau en une seule bouchée ! Soudain, un bruit retentit d'un des placards à vêtements où ils se trouvaient. Lara dégaina immédiatement ses armes. Amanda, qui était en train de lécher le chocolat qui trainait sur le sol, se leva d'un seul coup et s'essuya la bouche.
Lara : C'était quoi ce bruit ? Amanda : Un fantôme peut être ?!! Lara : Et ta connerie ? C’est sûrement un vampire !
Les filles se mirent à ouvrir tous les placards à vêtements, en ne trouvant que des maillots, vestes en cuir, jeans, pantalon, robes de drag-queen et autres affaires plus splendide les uns comme les autres. C'est seulement en ouvrant la dernière penderie qu'elles découvrirent Jean-Yves et Alister en train de s'embrasser goulûment. Amanda sauta alors sur les jambes de son mari en criant "J'ai gagné, j'ai gagné !!" et en l'embrassant à son tour.
Lara : Génial ! Ton mari vient de trifouiller les amygdales d’Alister avec sa langue, et maintenant, tu lui roules une pelle avec la tienne ! Jean-Yves : Bah nan, elle me lave la bouche ! Lara : Je vais faire comme si je n'avais pas entendu. Jean-Yves : Amanda, tu sens le chocolat. Amanda : C'est normal ! J'ai léché tout le choco que j'ai fait tomber par terre ! Jean-Yves: Ah. Alister : Écoutez, on s'ennuyait dans le placard. Et comme on avait peur que vous nous retrouviez, on se faisait des bisous pour se dire adieu !! Amanda : Ohhh ! C'est trop mignon ! Je suis persuadé que cette idée vient de mon Jean-Yves d'amour ! Je t'aime à la folie mon chéri. Jean-Yves: Moi aussi je t'aime... Euh... Amanda ! Alister : Bon, je vais faire un tour au PQ+4 pour dire bonjour à Zipounet ! Je dois lui montrer la nouvelle chorégraphie que je compte faire ce soir au club ! Matez ça !
Alister se mit alors à faire une danse très sensuelle sous les yeux étonnés de ses amis qui se mirent à danser subitement.
Au PQ+4, Zip, entièrement nu, discutait au téléphone avec un ouvrier. Il avait décidé, par folie, d’installer des nouvelles barres de streap-tease dans son club. Le jeune homme pensait que cette nouvelle idée l’aiderait à créer de nouveaux emplois et qu’il gagnerait plus d’argent.
Zip : J’aurais besoin de vos plus beaux ouvriers pour m’installer les barres ! Ouvrier : Mes plus beaux ouvriers ? Zip : Oui, c’est très important qu’ils soient beaux. Ouvrier : Pourquoi ? Zip : Parce que ! Ce ne sont pas vos légumes ! Quand est-ce que vous pourrez venir au club ? Ouvrier : Je peux vous envoyer mes hommes tout de suite ! Zip : Parfait, je vous attends, au revoir, bisous !
Zip n’eut pas le temps de raccrocher le téléphone que la sonnette du club retentit. Il fit un bond de 15 mètres depuis sa chaise et se cogna la tête sur le plafond. Il s’évanouit alors. Quelques minutes plus tard, il se réveilla en se touchant les coui**es, puis partit à la porte d’entrée. Les ouvriers furent surpris de découvrir que le propriétaire du club leur ouvrirait la porte tout nu.
Ouvrier : BON… BON… Bonjour ! Zip : Vous voulez quoi ? Ouvrier : Euh, nous venons pour installer les nouvelles barres ! Zip : Oh ! Vous êtes les ouvriers ! J’étais persuadé que votre patron allait m’envoyer des thons. Ce qui n’est pas votre cas ! Ouvrier : Ni des thons, ni des sardines, ha ha ha ! Zip : Oui. Entrez.
Les ouvriers commencèrent à pénétrer dans le club, mais Zip les repoussa avec ses cheveux vers la sortie.
Zip : Messieurs ! Vous n’avez pas lu les règles des lieux ! Ouvrier : Ou sont-elles ? Zip : Juste ici.
Zip sortit une feuille rouge de son sac banane en forme de banane qu’il portait en permanence sur lui et le posa juste devant ses parties génitales. Un des ouvriers lut alors « Toute personne voulant entrer dans ces lieux doit obligatoirement retirer ses vêtements. Alister, je t’aime. » Les pompiers se regardèrent curieusement.
Zip : C’est la règle ! Sauf pour le « Alister, je t’aime. » Ça, c’est le tatouage que je me suis fait faire sur mon z’gueg et que vous avez réussit à lire à travers la feuille, petit coquin, ah ah ! Ouvrier : Ah ah ! Je comprends mieux pourquoi vous vouliez des beaux garçons comme nous à présent. Zip : Pourquoi ? Ouvrier : Pour nous mater les fesses ! Mais, ne vous inquiétez pas, nous travaillons toujours tout nu de toute façon ! Zip : Oh ! C’est parfait alors !
Les ouvriers se déshabillèrent, sous les yeux jouissant de bonheur de Zip. Ils retournèrent à l'extérieur du club, fesses à l'air, pour récupérer les barres de streap-tease dans leur camion, sous les yeux de touts les passants.
Peu après, les ouvriers étaient en train d'installer les nouvelles barres. Zip, qui était aux anges, passait son temps à les regardé travailler, tout en buvant un cocktail, confortablement installé sur un lit de plage. Amanda entra dans le club en sautillant comme une gazelle, en même temps que ses faux seins qui rebondissaient sur sa poitrine comme deux ballons de football. Elle se déshabilla et se dirigea vers Zip, qui avait le sourire tendu jusqu’aux oreilles.
Amanda : Coucou Zip ! Zip : Allô 3615 JEMATE à votre écoute ? Amanda : Tu installes des nouvelles barres de streap-tease ? Zip : Non, pas moi, mais ces beaux garçons, oui ! Amanda : Alister le sait ? Zip : Non, et il n'est pas obligé de le savoir après tout. Amanda : Ben si, il travaille ici ! D'ailleurs, il va arriver pour te montrer sa nouvelle chorégraphie ! Zip : Quoi ? Quand ? Maintenant ? Amanda : Ouais, il devrait arriver d'une seconde à l'autre. Zip : S'il voit les ouvriers tout nus il va se poser des questions, non ? Amanda : Pourquoi ? Il a bien embrassé mon mari tout à l'heure. Je pense que ça lui plus de plaisir qu'autre chose de voir ces ouvriers tout nus ici, hi hi hi ! Zip : Tu as raison, ha ha ha !
C'est alors qu’Alister entra dans le club, habillé d'un slip de bain rose bonbon et d'une paire de lunette à étoiles jeunes fluo ! Il s'approcha de ses amis, au ralentit, pour avoir plus de classe. Zip et Amanda éclatèrent de rire.
Alister : Vous n'êtes pas sympa les filles ! Zip : Tu devrais te mettre nu, comme les ouvriers, ça changerait ! Alister : Je me mettrais nu ce soir à la moitié de mon show, pas avant. Par contre, si tes ouvriers veulent participer, ça sera avec un immense plaisir ! Zip : Cool ! En tout cas, tu es ridicule. Amanda : Moi je te trouve très sexy Alister ! Alister : Merci, c'est gentil Anaya. Zip : C'est pour te faire plaisir imbécile heureux ! Amanda : Nan, je suis très sérieuse. Ton slip rose me fait de l'effet ! Alister : Ah ! Amanda : Bon, je retourne à la maison pour courir après les poulets dans le jardin. Quelqu’un veut venir jouer avec moi ? Zip : Je viens ! J’ai trop regardé les ouvriers je suis au bord de l’orgasme. Alister : Et le club ? Zip : Occupe-toi en ! Tu n’as cas montré ta chorégraphie aux ouvriers ! Alister : Ah ouais ! Bonne idée !
Dans sa cuisine toute équipée, Winston était en train de préparer un gâteau à la fraise, à la pêche, à l’abricot, au parmesan, au cornichon et à la merguez. Vladimir, son fils de 43 ans, apparu dans la pièce, habillé d’une cape noire, d’un chapeau et de dent de chat qu’il avait volé à celui de la voisine.
Vladimir : Je vais te mangeeeeeeeeeeeeerr !!! Mouah ah ah !!! Winston : Non non, après le dîner ! Il n'est pas question que tu goûtes à mon gâteau avant que tout le monde en ai eu une part dans son assiette ! Vladimir : C'est toi que je vais manger ! Winston : J'en doute ; je ne suis pas comestible. En revanche, si un jour je songe à me faire un lifting, tu seras le premier auquel j'offrirais ma peau ! Vladimir : Ah... c'est gentil. Winston : Et si tu veux sucer du sang, va voir dans la poubelle, il doit encore y avoir des restes du porc que nous avons mangé hier ! Mais fait très attention ; tu risques de rencontrer Mickey ! Vladimir : Mickey ? Winston : La petite sourie ! Vladimir : Mi... Mick... Mickey !!!
Vladimir se mit à courir dans toute la pièce, les mains en l’air, comme un fou furieux, puis se sauva à l’extérieur de la maison en criant « J’ai faim ! J’ai soif ! Au feu ! ». Winston se mit à rire bêtement et continua de préparer son gâteau aux fruits-gumes, tout en chantonnant des musiques de Britney Spears.
Winston: WOMANIZER WOMA WOMANIZER OH YOU’RE A BABY.
Dans le gigantesque jardin du manoir, Zip et Amanda couraient après les poulets qu’ils avaient déguisés en policier. Les deux amis sautaient comme des fous, au milieu des plumes des animaux.
Amanda : Ils sont trop rapides pour moi !!! Zip : Tu n’avais cas pas te faire poser des implants de 10kg dans chaque seins !! Tu irais beaucoup plus vite si tu n’en avais pas.
Lara, encore bien en forme, sauta du toit du manoir en imitant le cri de Tarzan et atterri dans la piscine du jardin, à côté de Zip et Amanda. Elle en sortit et bailla tellement fort qu’on aperçu ses intestins au fond de sa gorge. Un chat sans dents s’approcha d’elle.
Lara : Eh ! Venez voir ! Amanda : C’est le chat de la voisine, il fait quoi ici ? Lara : Il tricote des strings en laine, tu ne vois pas ? Amanda : Bah nan, je ne vois pas. Zip : Il n’a pas l’air dans son assiette. Amanda : Ni dans son bol AH AH AH ! Lara : La voisine a encore du lui en faire voir de toute les couleurs. Amanda : Mais c’est horrible !!! Je vais m’en occupé…
Amanda prit le chat si brutalement qu'il lui vomit dessus.
Dans une des poubelles, en face du manoir Croft, Vladimir était en train de sucer le sang des restes du porc. Mickey, la petite souris, s'approcha prêt de lui.
Mickey : Que fais-tu ? Vladimir : Je suce le sang du porc, comme un vampire ! Mickey : Les vampires ne sucent pas les porcs. Vladimir : Bon, et bien on va dire que c'est une exception. Mickey : Pourquoi tu fais ça ? Vladimir : Car je m'appelle Vladimir ! Mickey : Et alors ? Vladimir : C'est un nom de vampire. Mickey : Et alors ? Vladimir : Et alors ? Mickey : Je ne comprends pas pourquoi tu imites un vampire ! Vladimir : Et moi, je ne comprends pas pourquoi tu es en train de me parler. Tu es une souris ! Et une souris, dans la vraie vie, ça ne parle pas ! Mickey : Je suis Mickey, et je suis là pour que tu m'aides. Vladimir : T'aider à quoi ? Mickey : A retrouver Minnie.
La suite bientôt...
Dernière édition par iacobanto le 28 Mai 2009, 17:13, édité 1 fois.
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