Les Forums de Tomb Raider Online

Salut à tous j'ai écrit ce pti truc et j'ai voulu le partager ici. Comme je ne savais pas dans quoi le mettre je lui est mis un topique rien que pour lui.

La mission du prodige


Cela faisait des mois que j'étais partis du QG de TRO. Une guerre civil avait éclaté dans un pays asiatique et j'avais été appelé pour calmer la situation par l'OTAN. A peine arrivé sur place j'étais horrifié de voir ça, j'en avait vus des horreurs depuis ma métamorphose mais là c'était pire que je croyais. La plus part des bâtiments brûlaient pour les plus chanceux, quand aux autres pour les d'écrire, disons que ruines conviendrait le mieux. Dans une ruelle sans âmes, je voyais des hommes en plein viol collectif. Alors en attrapant le premier je l'envoyais dans le mur le plus proche, puis deux autre furent décapité avec la stupéfaction gravé sur leur visage, quand aux dernier je lui avais tous simplement fais peur alors il s'est enfui en courant. La pauvre femme aux corps lacéré la peur au ventre me priait de la laisser vivre.

«Je ne vous ferai rien, ne vous inquiétez pas. Je suis là pour restaurez l'ordre dans le pays.
-: Mais... M...M... Mais com...
-: Comment je vais m'y prendre? Je ne sais pas encore mais je compte bien le faire, avec le minimum de victime possible.»

On se regardait dans le blanc des yeux, mais avant qu'elle ne parte je retirai ma chemise et la lui offrait en regardant le ciel bleu nuit déchiré par les flammes des bâtiments voisins. Puis je partais en lui disant de se réfugier, et de ne pas s'inquiéter pour moi. Bien que j'avais le dos tournez je pouvais sentir la peur qui la tenaillait, mais aussi son regard s'appuyant sur moi. Ma mission pour la paix du peuple était de trouver le dictateur et le remettre aux insurger. L'OTAN ne pouvait intervenir dans ces affaires là car la menace d'une guerre planait sur le globe. D'après leur jugement j'étais le seul à pouvoir intervenir mais sans trop faire de vague. Sauf que j'avais déjà mal commencer avec cette histoire. Avec cette révolte comment faire pour déterrer ma proie.

Non loin de là un magasin, fermé depuis le début de la révolution, se faisait piller par des bandits organisé. Je sortais de la ruelle et je reçus quelques balles sortant d'un AK-47, je regardais le tireur qui pris la fuite par peur mais je le ramenais à moi avec la télékinésie. En lâchant son arme un autre coup partie qui ricochait sur le lampadaire à ma droite et explosait une vitre tuant un jeune enfant juste derrière.

«C'est pas vrai! Regarde ce que t'as fait abruti! Un enfant décédé par tes conneries, on t'as jamais appris à ne pas jeter une arme ayant déjà servis?»

Pris par la colère du décès d'un enfant, je me saisissais de sa tête et en la tournant je lui brisais la nuque provoquant une mort instantané. Moi qui voulais un minimum de victime c'était pas gagné. Bien que j'ai l'air d'obéir à l'OTAN, je ne suis pas sous leur ordre je dirai même que c'est plutôt l'inverse. J'avais le choix et j'avais décidé d'y aller, le peuple avait besoin de moi. Je grimpais sur un toit pour avoir une meilleurs vue d'ensemble de la situation de la ville, mais avec tout ce remue ménage les incendies et les bâtiments qui s'écroulent, pas facile de voir clairement. J'avançais vers le palais du dictateur par les toits. Dans tous ce bo**** y manquais plus que les séismes pour qualifier ce pays d'apocalypse.

Devant l'entrée principale de l'immense demeure, j'observais les gardes qui tirait a vue. Peu importe la personne dans le viseur, pas de restriction, hommes femmes et enfants, une vrai boucherie. Un tas de cadavres devant la grille trainait là, un enfant de même pas 10 ans venait sous mes yeux d'être exécuté du à sa proximité du palais. Cette fois la rage me prit de cours sans comprendre ce que je faisais, comme si mon instinct vampirique me poussait au meurtre. Reprenant mes esprits je voyais un autre tas de cadavre, seulement formé de militaire et de différent hommes de milice. Traversant la grille sans difficulté j'avançais sans crainte la grande coure orné d'une fontaine qui ferai pâlir un roi. Des statues du dictateur inspiré des Grecs, quand à la demeure la description serait trop longue.

Entrant enfin dedans je fouillais pièce par pièce, je mettais des heures à cette ouvrage tant la grandeur ne m'aidais. Quand la fin fut venu j'avais du me rendre à l'évidence, il l'avait déjà quitté depuis un bon moment. «Mais s'il était partis pourquoi des gardes se trouvaient en son entrée?» Cette question me torturai l'esprit. «Où pourrai-je le trouver alors?» Voilà qu'une seconde se montrait comme si une seule me suffisait pas, mais bon fallait que j'y trouve la solution si je voulais le trouver. «Même si je savais où, comment le déloger car y sera pas seul.»

«Faut que j'arrête de réfléchir sinon je n'arriverai même plus à penser.»

Grâce à une liaison satellite j'avais garder le contact avec les membres pour leur transmettre des rapport sur la situation à intervalles régulières. Et s'ils avaient des infos sur sa position ils me le retransmettaient. Je venais de recevoir les dernières infos sur la position, je les suivais comme convenu, mais malheureusement rien à l'horizon. De nouvelles coordonnées m'avait été données, suivant la direction je trouvais un bunker fortifier par des murs avec babelé, sans compter les gardes dont certains avec des chiens. Une telle fortification devait protéger quelque chose d'important, entrant avec l'envol du vampire je tuais les gardes un par un laissant les chiens filer avec la... entre les pattes. Avec ma force de persuasion la porte cédait me montrant ma proie en prise avec la peur, se cachant derrière sa femme.

«Voilà tous le courage du dictateur?
-: Ne me tuez pas, prenez ma femme...
-: Je me fou de ta femme, c'est toi que je veux. Il est temps de payer pour tous le mal que tu as causer ici.
-: Laissez moi vivre et je vous offrirai tous ce dont vous voulez.
-: Tu n'a rien compris ma parole, rien de ce que tu possède ne m'intéresse. Alors laisse tomber.»

Sans doute pris par le désespoir il sortait une arme la pontait sur moi et faisait feu, me laissant m'écrouler sur le sol, j'entendais le pleurnicheur qui reprenait son assurance et m'insultait. Je me relevais doucement sous les yeux ébahis des convives, tout en ricanant doucement. Grâce à la télékinésie je l'emmenais vers moi et avec un véhicule je l'emmenais vers une place public. Le montrant à la population un soulèvement jamais vue dans l'histoire de l'humanité se manifestait sous mes yeux. Bien qu'ils comptait l'exécuté en public, je les avais convaincu que cela serai trop doux pour lui. Qu'il fallait qu'il souffre, et que la prison à vie serait des plus raisonnable.

«Vous en êtes sur? Me disait le chef de la rébellion.
-: Oui. Et pis, si vous le tuer il sera pris pour un martyre, faut surtout éviter ça. Le sang n'a que trop coulé.
-: Vous avez raison!»

C'est alors que la prison à vie fut déclaré comme sentence. Je restais avec la population pour instaurer avec eux un nouveau gouvernement. Quelques mois plus tard après de longue négociations il fut instauré avec succès. Je partais de là avec la joie de les voir enfin en accord, un gouvernement en place. Arrivé à Paris devant le bâtiment du QG, j'avais la surprise de voir tous mes amis devant moi m'attendant depuis des plombes. Un accueil des plus chaleureux m'attendait, j'en avais déjà eu mais celui là était le plus chaud de tous. Durant un court instant j'avais l'impression qu'ils avaient suivi mes aventures.

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C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.

Hey coucou Kain, çà faisait longtemps qu'on ne t'avait pas vu !
C'est cool que tu te remettes à l'écriture ! Je lirai ton texte et je te dirai ce que j'en pense.

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Miss TRO 2009

Hey ! Vivien ! C'est génial que tu te remettes à écrire ! ^^

En plus tu t'es grave amélioré dans ton écriture ! Bravo !

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The whole concept of celebrity pisses me off.
While I'm not a celebrity, it's such a weird concept that society has cooked up for us.
Astronauts and teachers are much more amazing than actors.

J'aime bien ton texte Vivien! Les événements en Libye t'ont inspiré je vois.

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Avec effort et persévérance, un débutant peut devenir expert!

Hello
J'aime bien ton texte je savais pas que tu écrivais

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Une survivante est née

Kikoo à tous!

C'est pas mal! Apparemment j'avais besoin d'un pti break avec ça, et pi celui là j'ai pas mis longtemps à l'écrire vue que ça me venais tout structurer. Ça fait bizarre quand on ne fonctionne autrement, moi qui d'habitude écrivais mes idées puis les améliorant en faisant des résumé et enfin le texte. Alors que là c'est sortis tout seul comme par enchantement. Si je devais avoir des texte aussi bon grâce à cette méthode, vous auriez pas des masse de texte de ma part.


Découvert! Ha ben me*** alors!

Edition le 01/05/2011
Attention les yeux car vous n'allez pas en revenir, j'ai écrit la suite.Ils vont vous piquez gravement alors sortez la paire de solaire et hydratez lezs bien avant.

Une mission humanitaire


Cela faisait à peine deux mois, deux mois que j'étais de retour à TRO. Mes amis me manquaient tant, la timidité de Nathalie, les délires de notre Juju interplanétaire, la douceur d'Heyfa. Un membre du pentagone venait dans le QG, se trouvant à l'entrée au près de l'accueil il demandait à me parler. Sachant cela je partis à sa rencontre.

«Qui êtes vous pour venir ici?
-: Êtes vous celui qu'on appelle Kain?
-: Le seul et l'unique, et vous êtes?
-: Major Adam Marshal du pentagone.
-: Qui me dit que vous êtes du pentagone?
-: Vous allez avoir un appel du président.
-: Lequel?
-: Celui des États-Unis d'Amérique.»

J'observais le costume de cérémonie qu'il portait et au vue des décoration et des épaules le grade prononcé semblait le même que celui affiché. Je suivais ce type laissant mes amis de côté encore une fois, «Pourquoi devais-je partir?» Aucune idée. Bien que j'en avais nullement envie, je me le devais car comme le dis un personnage d'un film «Un grand pouvoir implique de grandes responsabilité». Ce grand blond, enfin quand je dis grand en faite il est sensiblement grand. Je le dépassait de peu, avec son costume j'avais du mal à déterminer sa musculature bien que présent à mon avis. Le suivant vers sa voiture officielle, je pouvais sentir la présence des autres derrière moi sans me retourner. Mais je sentais surtout tout le poids du regard d'Heyfa sur moi, «Pourquoi me regarde t-elle comme ça?» Voilà une bonne question qui ne risquait pas de trouver de réponse avant un très long moment. Autant dire avant mon retour. Je devais aller au pentagone pour recevoir une mission de la plus haute importance, en rapport avec la sécurité nationale. J'avais abandonner de lui tiré les vers du nez, avec un peu de patience je le saurai. Quelques heures de vol plus tard au lieu du rendez vous je pouvais voir des généraux assis tranquillement derrière ce bureau.

«Vous allez peut être m'expliquer pourquoi je suis là?
-: Je suis le général John Simkins général en chef de l'état major.
-: Bien et les généraux derrière vous sont là pourquoi? La décoration?
-: C'est à moi que vous allez parler et je vous prie de changer de ton.
-: On me ballade depuis des heures sans une once d'explication, alors je suis assez énervé.
-: Je comprends tout à fait. Pour faire court j'ai une mission pour vous.»

Je suivais ce général sans grande conviction, un grand homme noir bien bâti, dans un costume de cérémonie d'un vert olive. J'entrais dans un grand bureau qui semblait être le sien, au vu de la taille de la pièce au moins 10 bureaux pourrai tenir sans exagération. Il n'avait rien à envier à un ministre, je le laissais s'installer à son aise puis il m'invitait à en faire de même. «Depuis quand on me barde de mission?» «Deux ans qu'il me lâche pas la grappe, et quand c'est pas eux c'est la reine.» «Tiens je me demande si je suis invité au mariage du pti.» «S'il savait que sa mère est encore en vie, il nous ferai une attaque le pauvre. Va falloir que je me démerde pour qu'elle ne l'apprenne pas.»

«A quoi pensez vous?
-: Pardon?
-: Vous sembliez perdu dans vos pensé.
-: Excusez moi, je me demandais la raison de ma présence ici, et si j'étais invité au mariage du prince.
-: Je vois je n'ai qu'une réponse à vous fournir malheureusement.
-: Trêve de bavardage, pourquoi je suis là?
-: Lisez ce dossier, tout y est.
-: Bien! J'ai pas droit à une petite précision supplémentaire?
-: Tout ce que vous avez à savoir est dedans, je ne vous retiens pas...»

J'étais furax, bien qu'il soit général je me devais de lui remettre les points sur les i, et accessoirement sur le portrait aussi.

«Minute papillon! C'est quoi de ça? Je décide des missions que j'accomplis, je n'ai d'ordre à recevoir de qui que ce soit. En premier lieu je suis un civil donc vous n'avez aucune autorité sur moi! COMPRIS!»

«Avait-il oublier mon état de civil durant le briefing?» «Possible, mais au moins maintenant avec le choc, j'étais tranquille pour les années à venir.» Je regardais le classeur bleu marine qui détenais une éventuelle mission, j'y trouvais différent rapport sur le terrain en catastrophe. Une partie de l'armée semblait avoir pris le large vers le Népal suite à l'effondrement du grande partie des neiges, détruisant quelques villages mais surtout un temple bouddhiste. Les malheureux n'avait pu voir leur fin. La mission qu'il proposait était de surveiller les environs que la leur se passe en toute sécurité, la reconstruction du village prendrait moins de temps si de des aides extérieure leur prêtaient main forte. Bien que dans l'ombre la mienne semblant rien, n'était pas de tout repos pour autant.

Non loin des lieux du drame j'observais la situation d'une tranquillité reposante. Étant désormais en partie vampire, mon coté animal plus éveillé que l'homme, guettait le moindre signe de danger par la nature. Le moindre mouvement de la terre, du vent, de la neige et etc... rien n'échappaient à mes sens. De tous en fonction c'était celui de l'instinct qui bossait le plus, la moindre anomalie psychique serai détecter analyser pour réaction quasi immédiate. «Moi qui prenait ça pour une malédiction, ça à des avantages certain.» De mon poste d'observation l'instinct en constant travail m'alerta d'un danger imminent, puis la vue pris le relais me montrant un autre bloc de neige se fissurant petit à petit. S'en attendre je m'envolais pour les rejoindre et les prévenir et les aider à l'évacuation de la zone.

«Colonel un autre bloc commence à se détacher faut évacuer d'urgence!
-: En êtes vous sur?
-: Certain!
-: Major lancer la procédure d'évacuation!
-: Oui mon colonel.»

Une alarme se déclenchait pour l'évacuation prévenant les militaires et les civils du danger immédiat et du départ pour la survie de tous. Pendant que les militaires s'occupait de ça moi je partaient dans les hauteur voir le déroulement du détachement du bloc. «J'espère qu'il auront assez de temps pour se tirer de là.» Je savais que je devais faire le vide pour garder le sang froid, mais dans une situation pareil ma moitié vampire bouillonnait de plus en plus. La fissure bien que légère s'approfondissait de minute en minute. Regardant vers le bas je pouvais voir des petits bonhommes s'agiter. Le temps passait si doucement que les secondes semblait des heures, j'espérais vraiment que j'aurai bien assez de mes capacité pour leur en donner plus si nécessaire.

Un fragment du bloc partis plus vite que le reste, grâce à la transposition je rejoignais la base et en explosant une table je m'en servais comme bouclier et attendais de pied ferme l'arrivant. Elle glissait doucement sur la grosse plaque et pris de la vitesse en quittant sa maman, positionné et préparer je comptais bien la stopper. Elle venait de plus en plus vite, alors que les militaires la fixaient du regard.

«Vous compter l'embrasser ou quoi? Tirez vous!!!»

Me regardant, effrayé ils cavalaient comme jamais de toutes leurs vie. Les courtes et faibles vibrations du sol me montrait l'approche imminente du bébé avalanche. Je savais qu'en relâchant mes muscles ainsi que mes articulations tout en souplesse pour toute sureté. Mon bouclier de fortune tendu devant je la réceptionnais mais avec la force acquise par la vitesse ainsi que le sol glissant je dus reculer de quelques centimètres. Accusant le coup même si léger soit-il, je repoussais en dehors de la base un petit tas.

Les hommes revenaient doucement vérifiant en hauteur si tout tenait encore, voulant accomplir leur mission ils craignaient que le reste leur tomberai sur la tronche. Cependant le départ précipité du pti avait fragiliser plus qu'à l'accoutumé, selon l'habitude montrer en rapport avec le temps. Regardant mon pti morceau de bois.«Si la maman tombe, c'est pas avec ça que je l'arrêterai.» Je regardais autour de moi mais rien ne saurai m'aider pour ce qui va nous balayer.

C'est alors qu'elle venait vers nous dans un fracas sans précédant, alertant au passage ses futur victimes. Dans la panique la plus totale les hommes couraient encore et toujours, alors que je je fixais sa venue, plus elle se rapprochait plus le sol tremblait sous nos pieds. Les minutes passaient longuement comme précédemment. «Je ne peux pas arrêter ça, alors je reste ici pour les aider à partir.» Elle descendait en gagnant de la vitesse avec le temps, je ne bougeais pas tant qu'il n'y avait plus personne. Un jeune lieutenant bloquer par une cheville écraser, une armoire tombé dessus le clouait sur place. Voyant ça je me rapprochais de lui et avec toute ma rage je la levais, ce qui lui permis de la retirer puis lâchant ça je l'aidais à avancer vers la sortie. Mais seulement oubliant l'avalanche qui nous menaçait de plus en plus, une seule chose me restait à faire.

Avec ma vitesse je me retrouvais devant lui et l'attrapant au niveau des pectoraux je tournais sur moi même et l'envoyais à ses frères d'armes. Suite à un très beau vol plané ses compatriotes le rattrapais, quand à moi laissant de coté ce pti détail m'emportait en dehors de la base. Ne voyant plus rien suite à mon enneigement, je me laissait emporter par la panique la plus totale. Agitant mes bras et jambes dans tout les sens, espérant de tout mon être ma survie. L'impression du ralentissement du temps m'étouffait plus que de raison. Alors que le déchainement continuait je me recroquevillais sur moi même dans la position fœtal. Après un longue course le calme revenait enfin. «Enfin le calme c'est pas trop tôt, je commençais à en avoir marre de tourner comme une roue.»

«Bon! Ben! Maintenant on attend les autres! Naaaaaaannnnnn!»

Tentant de gratter, je me suis souvenus d'une chose. «Mais dans quel sens je suis au juste?» Bien qu'évoluer dans la mort je pouvais tout de même sentir le froid m'entourant, ce qui ne m'inquiétait pas trop au vus du travail accomplis sur ce niveau. J'attendais l'arrivée des autres pouvant me sortir de là et ainsi déterminer ma position par rapport au sol. La peur de la mort naturel alimentait ma rage vampirique, alors que ma patience aidé par ma conscience exceptionnelle calmaient le jeu. Bien du temps passait pendant mon inactivité, «Rester calme et ne pas bouger c'est pas simple, surtout dans mon cas.» «Il est ptête temps de relativiser sur mon cas? Si je me souviens bien avant j'étais vivant mais depuis ma soi disante mort. Il bat toujours car je le sens, mais alors je le suis encore?» Plus le temps passait au ralenti pour ne pas m'aider du tout, plus je prenais du recul sur mon existence. «Jamais avant je ne pensais à ça, comme quoi un événement comme celui là peut vous faire réfléchir.» «Pourquoi l'Homme se remet en question que lorsque qu'il vit une expérience rapprocher de la mort?» «Sommes nous si borné et stupide?» Au loin j'entendais des coups de pelle,

«D'ici que je m'en prenne une ça devrai pas tarder.
Hé ho! Y a quelqu'un? Me disait une voix étouffé doublé d'une étranglé.»

J'inspirai un grand coup pour avoir ensuite une bonne portée de voix, vallait mieux qu'il m'entendent ceux là. Je ne comptais pas rester ici jusqu'à la fin des temps. Je voulais sortir plus que tout au monde.

«IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIICIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!»

«J'espère qu'il m'auront entendu avec ça, je pense pas pouvoir faire mieux.» Des voix étouffées me parlait pour mieux me localiser, j'ai répondu comme je pouvais. Cette fois c'était la fin de cette attente interminable, ma sortie m'ouvrait enfin les bras. Je sentis assez vite un pti truc dans la peau, même si la douleurs fut brève et légère. Ma rage explosait enfin, envoyant valser toute la neige qui restait sur moi je vis celui avec la pelle. La fureur se déchaînant je la lui pris pour la lui coller en pleine figure.

« La prochaine fois que tu me plante avec ça! Je te défonce avec et après je te la fais bouffer ABRUTIS!
-: Restez calme tout de même.
-: Rester calme? Vous êtes sérieux? Je suis la dedans depuis des plombes et cte con me planche sa pelle dans le dos et vous voulez que je reste calme? On verra si vous le serrez quand ça sera votre tour. Alors me***!
-: Je …
-: Stop! Ne me sortez pas le ''je vous comprends''.
-: J'allais juste dire que je vous remercie d'avoir sauvez mes hommes.
-: De rien.»

Je repartais de là quand à la cicatrice, ben y en à pas car ma peau se referme d'elle même. Je sais c'est bizarre pour vous mais moi c'est mon quotidien. De retour à Paris dans mon pays natal devant les bureaux de TRO, je repassais devant Éveline la réceptionniste me laissant passer car elle me connaissait très bien. L'ascenseur descendait lentement vers le sous sol voulu. «Hé ben c'est pas trop tôt, espérons que je ne vais pas déranger.» Arrivé à destination les portes s'ouvraient, j'en descendait quand une voix m'interpella.

«VIVIEN!
-: Qu'est ce qu...»

Elle me sauta au cou étant face à face je tombais sur le dos. Ce qu'il y avait de plus bizarre dans cette scène était le fait qu'elle m'effrayait plus que ce que j'avais vécu dans la neige. Je ne saurai vous dire le pourquoi du comment mais il en était ainsi.

«J'ai eu si peur pour toi.
-: Allons du cal...»

C'est à ce moment précis que ses lèvres se collèrent aux miennes. Ne comprenant pas trop ce qu'il m'arrivait j'étais en mode passif. Lâchant son étreinte elle me regardait, les yeux plein de larmes le coeur soulagé de ma présence en ces lieux. Quelque chose avait changer en elle depuis un long moment, je l'avais sentis mais jamais je n'avais compris quoi.

«Bon arrête là! Tu va me dire ce qui t'arrive au juste?
-: Hé ben on a tout suivi dans la salle et quand tu a été enseveli j'ai cru que je t'avais perdu. Sur l'instant j'ai voulu mourir pour te rejoindre, mais une partie de moi me disait que tu vivait encore. On a attendu des heures entière, et tu es réapparu alors même si tu nous entendais pas on te soutenait...
-: Attends une seconde tu veux? Comment avez vous pu me suivre j'ai pas de...»

Portant ma main droite à mon oreille droite, je vis que le communicateur vidéo se trouvait présent à son poste. J'en revenais pas, depuis quand il logeait là. «Serai-je si habitué à sa présence que je ne le sens même plus?»

«C'est surtout quand tu étais enfermé que j'ai réalisé mon amour à ton égard.
-: Tu es sérieuse? Toi qui disais que tu ne voulais pas être en couple! Tu me coupe la chique.»

La jeune femme timide se sentant bien seule avait laissé place à la jeune femme amoureuse, loin de m'en déplaire. «C'est donc ça le changement, mais après tout elle me plait aussi.» Je la serrai dans mes bras et l'embrassais à mon tour. La regardant de nouveau je lisais tout le bonheur de l'instant qui lui conférai.

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C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.

C'est une histoire intéressante qui combine les films d'action et Edward. Mais il y a une touche existentielle qui est surprenante aussi.

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Avec effort et persévérance, un débutant peut devenir expert!

Slut lé pti zami de TRO! Je viens de finir la suite des évènement, que va t-il se passer selon vous? Allez je vous la met de suite.


La Chasse

Je me réveillais au coté de ma bien aimé, je l'observais, si douce, si fraiche et si belle quand elle dort. Le temps passait plus vite que je ne l'aurai voulu. Me levant sans bruit pour ne pas la déranger, je vis Lara courant dans le couloir à toute allure. En partie réveillé je n'avais pas eu le temps de dire quoi que se soit qu'elle était déjà loin, «quelle ironie pour la première fois depuis un baille elle va trop vite pour moi.» Je marchais lentement vers la cuisine du QG tranquillement, poussant les lourdes portes battantes, mes camarades de jeu mangeaient déjà. Les couples ressortaient le plus. Quelques temps après ma venue un couple vit le jour, puis un autre et un autre et ainsi de suite. Le miens qui naquis la veille se trouvait en 5eme ou 6eme position je ne sais plus.

Bien que je somnolais sortant d'un profond coma suite à une nuit... enfin pas besoin de dessin, je pouvais sentir le regard des autres sur moi. «Mais qu'est ce qu'il regarde comme ça?» les yeux au ¾ ouvert je tentais de voir ce qu'il pouvait bien les intéresser. Essayant tant bien que mal sous toutes les coutures mes vêtements je ne voyais rien. «Bon alors si c'est pas visuel, qu'est-ce qu'ils me veulent?» C'est alors qu'elle apparut derrière moi portant un de mes tee shirt blanc cassé, cachant une petite partie de ses cuisses les cheveux couleur soleil en basage, un sourire aux lèvres des yeux scintillants , le bonheur se reflétait sur son visage radieux. Avançant vers moi doucement se laissa finalement tomber littéralement dans mes bras. Je la rattrapais et dans mon élan je l'embrassais langoureusement.

«Mon héro! Excuse moi!
-: Pas la peine! C'est toujours un plaisir d'être à ton secours!»

On se regardait dans le blanc des yeux avant de rejoindre une table et ainsi prendre notre pti dej. Sous le regard amusé des autres dont certains jaloux car rivaux mais perdant. J'avais une perle dans mes bras, bien que son physique soit des plus attrayants. Ses yeux en amandes d'un vert émeraude éclatant entourant un pti nez discret surplombant des lèvres pulpeuses, une poitrine bien formé ni absente ni trop arrogante, un ventre plat sur des jambes longues et fines. Et oui une taille de guêpe, cependant ce n'est pas ce qui m'avait plu le plus. Bien qu'elle soit sexy elle jouissait également d'une gentillesse hors du commun, une culture et intelligence plus que développé. Un caractère bien trempé, mais d'une douceur exquise au naturel. Vu comme ça on dirait Lara mais Cassandra de son nom n'as pas du tout la richesse de l'aventurière ni le talent au combat ni aux tir. «Je l'aime tellement, je l'aime plus que ma vie. Enfin si ça signifie encore quelque chose vu ce que je suis.»

«Ha te voilà toi!
-: Respire Lara, qu'est ce qui t'arrive?
-: J'ai vu sa majesté la reine.
-: Et alors?
-: Elle veut te voir?
-: Quoi me voir? Qu'est-ce qu'elle t'a dit exactement?
-: Qu'elle voulait te voir, sans autre précision.
-: C'est une convoc ou un appel?
-: Une convoc on dirait.
-: Ok, alors une soufflante devrai lui remettre les idées en place.
-: Tu ne vas pas oser.
-: Jvai mgêner! Je suis pas son larbin et c'est pas la 1ere fois que je lui ai dis.»

Je partais dans ma chambre pour me laver et m'habiller avant de partir vers le palais dans la salle du trône. La reine m'attendait avec son fils Charles ainsi que William et Harry. Devant un tel accueil je me demandais ce qu'ils me voulaient tous.

«Bonjour Kain.
-: Elisabeth, pourquoi je suis là?
-: C'est moi qui ai voulu vous voir.
-: William?
-: Je voulais vous inviter à mon mariage avec Kate Midleton.
-: Ha je vois. Pourquoi me convoquer alors qu'un simple appel aurai suffit.
-: Voilà la carte d'invitation.
-: Merci William»

Dans cette carte blanche broder sur les coins en or massif et leur nom inscrit dans le papier comme graver en argent avec la date inscrite juste en dessous.

«William c'est dans une semaine!
-: Je sais mais vous êtes difficile à joindre.
-: Ouai je sais mais c'est pas pour rien si c'est comme ça.
-: Je m'en doute, mais nous devrions pouvoir vous joindre plus rapidement et facilement.
-: Attention! Je ne compte pas être libre pour la royauté et peu voir pas pour le peuple.
-: Évidemment mais...
-: Il n'y a pas de mais, c'est comme ça et y a pas à discuter, j'ai pas de compte a rendre.
-: Serez-vous là.
-: Bien sur William je ne vais pas décliner une telle invitation.
-: Merci beaucoup.
-: Par contre il se pourrait que je ne sois pas là pour raison d'état ou autre, alors excuse mon retard ou mon absence. Avec ce que je suis, on m'appelle à tous va et des fois pour rien.
-: Je comprends tout à fait.»

Je les saluais dignement avant de partir de là retournant à Paris mais surtout aux près de mon amour. Mais malheureusement pour moi, Lara l'avait déjà envoyé à sa première mission sur le terrain. Dans la salle de vision on pouvait voir ce qu’elles nous faisaient, on pouvait le comparer à un film comique. Je retournais dans ma chambre pensant à Diana ne sachant rien sur son ancienne famille. «Je dois la prévenir pour le mariage?» Perdu dans mes pensées je n’avais pas sentis la présence d’Heyfa derrière la porte, elle entra sans même frapper.

«Vivien?»

N’ayant pas de réponse elle insistait encore et encore. Puis sortis un mégaphone de sa poche gauche et en hurlant:

« HE HO! LA TERRE APPELLE VIVIEN!
-: C’est bon chui la! Pas la peine de me percer le tympan avec ça! Qu’est qu’il y a?
-: Elle veut te parler.
-: Qui?
-: Une certaine Diana.
-: Quoi? Comment elle m’a trouvé? Elle est où?
-: A l’entrée, d’ailleurs son visage me dit quelque chose et le nom aussi
-: bo**** ! Jlui avait bien dit de pas venir ici.»

Je partais alors, poussant légèrement Hitsumey, filant comme un courant d’air. La trouvant là attendant ma venue avec toute la grâce dont elle faisait preuve naturellement.

«Diana je vous avais bien dis de rester là-bas!
-: Je sais mais j’ai l’impression d’être prisonnière.
-: C’est pas pour rien si je vous l’interdit.
-: Pourquoi me protéger ainsi?
-: C’est de la reine que je veux vous protéger.
-: Pourquoi ça?
-: Je t’expliquerai plus tard pour le moment suis moi.»

Bien qu’elle ne risquait pas de répéter ce qu’elle entendait je suivais la procédure d’enregistrement pour ensuite me conduire au sous-sol, les porte de l’ascenseur s’ouvrant Nathalie vit alors la femme à mes coté et la reconnu de suite.

«Nathalie j’ai pas le temps ni l’envie. Alors chut!
-: Mais…»

Je l’emmenai vers ma chambre en la tirant par la main dans les couloirs. Grâce à ma vitesse et surtout au fait que la plus part était en mission personne d’autre ne la vis.

«Bon pourquoi t’es là au juste?
-: Je veux voir mes enfants il me manque tellement.
-: Je vois, mais tout le monde te crois morte. Alors tu dois rester cacher ils nous feraient une attaque s’ils apprenaient la vérité.
-: Je sais mais je veux les voir.
-: Bon alors je vais me débrouiller pour que tu vives en direct la cérémonie, sans être vue.»

Voilà j’avais une tâche à accomplir pour elle, «Comment lui montrer la cérémonie sans être repérer par qui que ce soit?» Je devais déjà avoir accomplis ça, car le futur en sans cesse mouvement ne peux être prédit. Surtout de mon point de vue sur moi. «Bien que les coms soit petit ils ne sont pas discret pour autant.» C’était pas gagner sur ce sujet et je devais le faire au plus vite, un seul moment passer ailleurs foutrait tout en l’air. Seulement personne dans ce monde devais la voir, bien que ce soit déjà trop tard. J’avais beau tourner le problème dans tous les sens d’après moi la technologie ne pouvais m’aider. Pour le coté magie personnellement j’y pouvais rien, mais le pouvait-il.

«Bon j’ai une solution mais pour ça je dois partir.
-: Mais et s’il…
-: C’est ta faute ça, fallait y penser avant.
-: Je sais mais…
-: Diana écoute moi bien. Tu restes ici pour le moment mais je reviendrai te chercher au plus vite.
-: Très bien.»

De longue heure de vol plus tard j’arrivais devant une bâtisse modeste mélangeant les constructions humaines du Moyen Age et leurs technologies, les Hyldens vivaient en harmonie avec l’humanité. Devant le palais construit en mon honneur suite à la destruction de la Roue du Destin je trouvais l’un des gardes affectés à l’entrée pour trouver Hash’Ak’Gik le chef de toute la population. M’indiquant le chemin j’avais pu le trouver près de la prison des derniers vampires encore en vie.

«Hash’ak’Gik!
-: Que me veux-tu?
-: Je sollicite ton aide.
-: Quoi? Toi? Le tout puissant Gardien de l’Equilibre, me demande de l’aide?
-: Ca va n’en rajoute pas…
-: Le destructeur de la roue, le libérateur du peuple…
-: Tu comptes t’arrêter un jour ou mes louange continuerons jusqu’à mon départ?
-: Que puis-je faire pour toi?
-: Serait-il possible de faire un portail montrant un lieu sans être vue par eux?
-: Je n’en suis pas sûr mais je crois que oui.
-: Mais il me faut du sûr pas de l’apriori.
-: Tu m’attends là je vais voir ça de plus près.»

Allonger sur l’herbes d’une légère humidité regardant les étoiles je sentais le regard de mes congénère furieux de leur emprisonnement face à ma liberté. L’agitation gagnait en force mais je les laissais faire. «Après tout je n’ai rien à craindre d’eux, tant que je l’ai avec moi tout ira bien.» C’est ce que je pensais mais avais-je vraiment raison. Pour le moment rien ne e démontrait le contraire dès que je la sortais de son fourreau, tous réagissait de façon différente mais la peur était leur point commun. Je le voyais de retour avançant tranquillement vers moi.

«Ecoute après de mur recherche je peux te dire que c’est faisable.
-: Mais…
-: Mais ça ne sera pas éternel combien de temps tu voudrais?
-: Pour le moment je ne sais pas encore, combien de temps peut-on espérer?
-: Une heure grand max!
-: Pas grave jte tien au courant! Merci.»

Je partais à nouveau de ce pti coin de paradis depuis seulement quelques mois. Arrivant devant les bureaux j’entrais et suivais la procédure de reconnaissance. Seulement la mienne avait été étudiée pour moi et moi seul, aucune autre personne ne pouvait essayer de se passer pour moi, enfin si on retire le badge de tous les Troliens. J’avais la reconnaissance rétinienne vocale, empreinte humaine et vampirique et la reconnaissance faciale humaine et vampirique. Une fois passé je pouvais rentrer mon badge pour indiquer mon étage. «A force ça devient fatiguant.» Allant dans ma chambre je ne vis rien, je partais dans différentes salles durant plusieurs longues et éprouvantes minutes. C’est alors que je la trouvais parlant aux autres comme si de rien était.

«Je t’avais pas dit de rester dans ma chambre?
-: Ils voulaient tous me voir depuis notre entrées, je n’allais pas les contrarier.»

Je me frappais le front avec la paume de ma main droite puis descendait lentement et me pinçais l’arête du nez avec tous mes doigts. «C’est pas vrai, cqu’il faut pas entendre.» J’étais maintenant bien emmerder car je les voyais déjà me sautant dessus avec leurs questions alors que je voulais à tous prix éviter ça. Leurs du mariage avançait à grand pas alors que moi j’étais de moins en moins prêt pour. En reconsidérant ma vie rare furent les occasions où ‘avais de l’inquiétude ou pire. J’ai affronté et détruit un être monstrueux qui se prenait pour un dieu, des vampires et autre monstre sortis des différents cercles de l’enfer. Mais là un mariage princier me rendait vraiment malade, bien que j’aimais bien le prince et sa bien aimé. «Après tout ce que j’ai pu endurer, c’est ce mariage qui aura ma peau.» il fallait vraiment que je me reprenne en main car je me laissais aller, je sentais des bras entourer ma taille et un léger souffle sur ma nuque.

«Mon homme est tout beau.
-: C’est toi bébé, je t’avais pas senti.
-: C’est un tort, imagine si c’était quelqu’un d’autre.
-: T’as raison.
-: J’ai toujours raison, tu devrais le savoir depuis le temps.»

Je me retournais et la regardais de toute ma hauteur puis dans le blanc des yeux je l’embrassais tendrement alors que la porte s’ouvrait. Diana nous regardait avec une certaine nostalgie dans le regard, quittant ma bien aimée pour aller à la cérémonie je lui demandais si elle pouvait emmener Diana dans la salle de ciné pour la retransmission. Après tout comme tous le monde le sait pourquoi la cacher, autant l’amené là-bas. J’avais pris des précautions envers mes comparses, je m’étais assuré de leurs silences sur ce sujet. L’évêque les avait déclaré officiellement mari et femme, les journalistes ne sachant rien sur mon apparition car garder secrète par la royauté, furent surpris de me voir en ces lieux. Je parcourais la cathédrale en chauve-souris prenant enfin pied devant les futur époux. Je me levais devant des convives en partis endormis suite à une attaque, je sentais la reine pas très contente de mon entrée mais je m’en foutais pas mal.

«William! Kate!
-: Kain!
-: Kain!
-: Bon faisons vite je ne vais pas vous retenir ici toute la journée.»

Je toussotais un peu en vue de préparer ma voix.

«William tu as choisi cette femme pour épouse, tu lui promets amour et fidélités. Dans la pauvreté ou la richesse, dans la maladie ou la santé, jusqu’à ce que la mort vous sépare.
-: Oui.
-: Kate tu as choisi cet homme pour époux, tu lui promets amour et fidélités. Dans la pauvreté ou la richesse, dans la maladie ou la santé, jusqu’à ce que la mort vous sépare.
-: Oui.
-: Parle plus fort les endormis du fond t-on pas entendu.
-: OUI!
-: Ha! Ca y’est elle nous les à réveiller, on vous dérange pas trop? Sinon on peut partir et vous laisser pioncer tranquille!»

Sans vraiment m’en rendre compte, j’hâtisais la colère de la reine alors que l’assemblé riait au éclat.

«William sort ton épée de là veux-tu.
-: Pourquoi?
-: Fais comme si nous allions nous battre en duel, Harry passe la tienne à ta belle sœur. Charles monsieur Midleton ayez une épée vous aussi.»

Ils pointaient alors leurs armes vers moi sans comprendre mes intentions, je sortais alors la reaver de son fourreau et contrais mon opposant, les épées s’entrechoquais.

«Que la Reaver soit le symbole des embuches que rencontrera votre mariage, et que vos armes représentent votre amour sans faille pour l’autre. Celle de vos parents représenteront tout l’amour et le soutien de vos familles. Maintenant prouver au monde entier que la Reaver perdra ce combat. Merci messieurs de votre assistance.»

Les épées rangés de nouveau et tous le monde à sa place.

«Plus qu’une chose à faire et je vous libèrerai.
-: Laquelle?
-: William faut que jte fasse un dessin? Embrasse ta femme idiot!
-: Le baiser se fera seulement au balcon du palais, tu ne savais pas?
-: Pas du tout, cette fois j’ai l’air d’un … et puis allez y rentrer au palais.
-: Viens avec nous alors.
-: C’est gentil William mais je ne voudrais pas faire tâche.
-: Mais non enfin on se connait depuis un bon moment maintenant.
-: J’aurai préféré que la rencontre fût en de meilleures circonstances.
-: Oui venez avec nous, je vous le demande.
-: Bon d’accord.»

Une fois dans leurs carrosse moi je reprenais ma forme d’envole et les suivais tranquillement vers la suite des évènements. Dans le palais le repas bien qu’assez agiter une bonne ambiance régnait, c’est alors que sur le balcon derrière le couple ils échangèrent un doux baiser. Devant une foule en délire, pire qu’un concert de Métallica et AC/DC réuni un second s’en suivait. Je me rapprochais d’eux et qu’elle fut la surprise de Kate quand chacun de nous embrassions une de ses joue, William celle de gauche et moi l’autre. Après la bise surprise non manqué par la presse et sous le mitraillage des flashs je partais de nouveau vers Paris.

A peine avais-je le pied sur terre qu’un appel interrompait ma seconde de détente. Voyant de qui il s’agissait je partais de nouveau. Washington D.C bureau du pentagone un général me donnait un dossier par ordre du président.

«Voici votre cible.
-: Vous êtes sérieux? Depuis le temps que vous le chercher. Je dois faire quoi?
-: Repérer et éliminer la cible.
-: Bien. Dans ce cas, la chasse est ouverte.»

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C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.

J'aime bien ton extrait. C'est cool d'imaginer comment la princesse Diana agirait si elle existait encore.

On dirait que cette fic te met dans les "grandes actualités", dont le mariage de Kate et William.

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Avec effort et persévérance, un débutant peut devenir expert!

Ton texte est bizarre ^^' !

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The whole concept of celebrity pisses me off.
While I'm not a celebrity, it's such a weird concept that society has cooked up for us.
Astronauts and teachers are much more amazing than actors.

Ha! En quoi?

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C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.

L'association de personnages vivants alors qu'ils sont morts en réalité, le fait que limite tu parles à William et Kate comme de bons vieux potes ! Ça fais bizarre x) !

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The whole concept of celebrity pisses me off.
While I'm not a celebrity, it's such a weird concept that society has cooked up for us.
Astronauts and teachers are much more amazing than actors.

Le fait que Diana est vivante sera expliqué dans un chapitre qui arrivera assez vite, tout comme l'amitié de mon perso avec William. En faite le but 1er de ces fictions est de montrer l'autre visage du perso. Le fait que ses dons ou malédictions doivent servir l'humanité, comme quoi il n'est pas qu'un monstre ou un héros. Tu comprends? Je me doute que dans un sens c'est assez bizarre mais reconnait que mes textes sont les meilleurs que j'ai pus publier ici, enfin d'après moi.



La Traque

Arrivant en Afghanistan dans la ville d’ Almar je menais mon enquête sur ma proie dans l’ombre, «comment j’allais la trouver alors qu’elle essaie de se planquer?» J’avançais dans un brouillard sans fin selon moi. La population locale ne semblait pas vouloir ou pouvoir m’aider. «Peut-être est-ce les deux en fait?» Regardant aux alentours une présence hostile me surveillait, Pourtant vêtu comme tout le monde je me sentais observer. Moi qui avais horreur de ça, j’étais servis à l’insu de mon plein gré, comme dirai l’autre.

Les infos que je possédais sur elle était ce que je pouvais voir, une ville se situant en hauteur, dans une région désertique. Une population estimée à 55000 habitants en 2002. Le recensement n’a jamais été refait depuis les attenta de 2002, peu de temps après. Les terroristes n’aiment pas voir qui que ce soit dans leur pays, peu importe la raison. Grâce à mon ouï sur développer je pouvais entendre des conversations interdite en ma présence. Au tout début de cette découverte j’avais beaucoup de mal à l’utiliser correctement mais, des heures d’entraînement et de concentration je pouvais sélectionner les sons que je voulais entendre et étouffer les autres. Bien que cela m’aidais j’avais tout de même une limite. D’après ce que j’avais tenté à l’insu du plein gré de mes comparses, je pouvais me trouver au maximum à 300 mètres du son voulu.

«Dis t’as entendu la dernière?
-: Il parait qu’il serait à Kanaqah.
-: T’es sur?
-: Deux de ses hommes en parlaient.»

«Merci de cette info les gars.» Je partais lentement de la ville quand un souffle me projeta contre le mur d’en face. A moitié dans les vaps sans auditions je tentais de reprendre mes esprits et comprendre ce qui venait de se passé. Me relevant comme je pouvais je m’aidais de la Reaver pour y parvenir. «Mais ce quoi de ce bo****? C’est quoi qui a… ? C’est pas vrai, ils ont osé faire ça?»
Ma rage s’intensifiait au fil du temps, « le 1er que je chope je le charcute, jle met en pièce détaché, et ensuite j’en fait de la chair à saucisse.» «Je dois vraiment le trouver si je veux arrêter ces conneries.»

Je partais de là toujours dans l’ombre de la ville car mission secrète, je volais comme je pouvais à l’abri du regard des hommes. Sur place je pouvais voir un petit village quasi désertique, vus par son emplacement géographique et par le peu de population. Ici pas de recensement fait depuis toujours, pays estimer comme étant le plus dangereux au monde personne ne voulais le faire, même payer avec tout l’or du monde.

Toujours vêtu comme précédemment je me déplaçais discrètement, recherchant ma proie minutieusement. Croyant avoir fuis les yeux qui me poursuivaient dans la ville précédente, je pouvais à nouveau les sentir sur moi. Un poids que personne ne pouvait négliger, «moi qui pensais être tranquille et ben jme suis planté.» Je devais essayer de faire avec, je n’avais pas trop le choix d’ailleurs. Je fouillais ce pti coin perdu sans rien trouver pour autant. Jusqu’à…

«Qu’est-ce que tu veux toi? Me dit-il en me pointant son flingue sous le nez
-: Déjà chui pas ton copain, alors sois tu baisse ce truc soi jte colle dans la tronche et jte le fais bouffer. Piger?»

Il allait tiré kan je la lui pris et la jetais derrière moi. Montrant mon vrai visage les canines de sortie avec les yeux scintillant de mille feux dans un blanc inégalé, il tremblait de tous ses membres comprenant qui lui faisait face.

«Bien! Maintenant que j’ai toute ton attention, où il est?
-: Ddddddddd…
-: Je parle de lui, alors il est où?
-: Je sais pas.
-: HMMMMMM!
-: Mais jvous jure!»

Je le lançais sur le mur de gauche avant de partir. Il devait faire partis de ses nombreux hommes de mains. Je sentais qu’il devait être ailleurs mais le trouver serai plus ardue que je croyais. Elle serait aussi plus longue que je ne pensais. «Si j’avais sentis l’odeur de son sang, j’aurai plus de facilité à le débusquer.» Mais je devais faire avec, comme si j’avais le choix d’ailleurs. Quelques découvertes surprise me menaient sur une piste d’une autre ville. «Et si c’était encore une fausse piste?» Bien que je n’aimais pas ça je me devais de la suivre car la seule que je possédais,
«C’est ça ou rien. Autant y aller j’aurai plus d’infos là-bas.»
Je partais de ce désert pour aller vers un autre peut être, je ne savais pas à quoi je m’exposais mais je me devais de le faire. Le fait que le pentagone disposait de moi me plaisait pas, mais pour le bien de l’humanité je la fermais. Surtout que mon côté vampirique lui aurai appris comment se tenir face à moi, avant de le déchirer. Quand je reçu ce dossier j’agissais en bon petit soldat car les rapports entre les Etats-Unis et la France s’était dégradé a vu d’œil. Je pense même être le seul lien bénéfique entre eux. Possibilité de guerre entre les deux-là? Très forte.

L’humanité se dégradait avec le temps d’après ce que je voyais, mais une lueur d’espoir grâce à TRO tenait bon. Mais j’espérais du fond de moi-même que cela allait s’arrangé. Arrivant dans la ville de Kabul dans une ruelle ombragée, j’en sortais lentement comme si j’y étais venu. La mission continuait ici «mais allait elle y finir aussi?» Pas sûr, je me sentais baladé, comme si on m’envoyait dans des endroits où il n’y était pas pour mieux le planquer. Son organisation bien plus importante que je me l’imaginais devait se régaler.

Mais je ne comptais m’arrêter là, je me devais de le débusquer. Après tous ce qu’on nous racontait je voulais savoir si c’était bien lui. Vu ce que je pus voir avec la reine je me méfiais des chefs d’Etats, ce qui me rassurait était le pouvoir que je pouvais exercer sur eux, à leurs grands regrets. Je pouvais les mettre dehors les président et prendre leur place si je le voulais, à condition bien sûr que cela soit justifié. Selon mes souvenirs c’est le peuple lui-même qui aurai exigé ça, lors de leur renvoi tous les privilèges leurs sont retiré.

Me voilà arriver à Kabul d’après ce que je savais elle était la capitale et la plus grande ville du pays. D’après le dernier recensement effectué il y avait près de 4 millions d’habitants. Dans les hauteurs près de 1800m d’altitude, l’air est suffisamment respirable, bien plus que précédemment. Toujours aussi surveillé j’avais du mal à me concentrer, maintenant cela m’irritait de plus en plus. Il me fallait un défouloir assez vite avant de faire un massacre. Peu importe où j’allais dans la ville, je me sentais épié. Comme je devais faire avec, fallait pas y penser et puis ça partirai tout seul. «Ouai enfin ça s’est vite dis.»

«Mais comment je vais le trouver alors qu’il s’est terré dans son coin bien tranquille?»

Un témoin pas très proche ni trop loin aurai vu un type correspondant à lui dans une ville du Tadjikistan appelé Dushanbe. Je partais alors comme à mon habitude car seul manière de voyager discrètement enfin c’était ce que je pensais. Mais seulement dans ce cas-là, pas possible de l’être vus mes sensations. Se sentir surveillé peu importe l’endroit où vous êtes en dérangerait plus d’un. Mais bon j’avais pas le choix alors je continuais. «Bon alors y serai ici clui là. J’ai pas non plus que ça à foutre.» Je continuais à chercher comme je le pouvais, mais pas simple de mettre la main sur un homme comme lui. Des heures durant je farfouillais mais ne trouvais rien pour autant, j’avais surveillé la population mais rien de ce côté non plus. Je commençais à désespérer de le sortir de son trou.

Quand je vis un homme plus que suspect se diriger vers la sortie de la ville, le suivant de loin j’observais ses moindre faits et gestes. Toujours à sa suite nous arrivions nous sortions du pays pour entrer au Pakistan. Sans se soucier de ma présence il se dirigeait vers sa destination. Arrivé à Abbottabad il me menait à une villa de rêve. «Mais c’est une sacré villa que voilà, voyons voir qui se trouve dedans.» Bien que cette villa de couleurs saumon surplombais une coure avec fontaine centrale de grande envergure, des hommes armés jusqu’aux dents, je passais grâce à ma furtivité naturel. Aucun d'entre eux ne m’avait repérer ce qui faisait mon bonheur, près d’une fenêtre je ressentais à nouveau cette désagréable sensation de surveillance. Seulement en m’y concentrant je pouvais sentir une différence non des moindres, comme si cela venait d’autres types que ceux habituels. Je me dirigeais vers l’entrée et dans un fracas pas possible la porte cédait, des hommes tués sur le coup d’autre blessé voir démembrés. Un groupe de soldat genre commandant pénétrait dans la salle sans ménagement les coups de feu se succédaient. J’arrivais dans la pièce après les tirs et je constatais les cadavres au sol. «Ché pas qui sont ces types mé y font pas dans la dentelle.» Je les suivais pour ainsi voir qu’elle mission on leur avait confié, au détour du couloir menant à la cachette de ma proie je pouvais les voir mettant le suspect à genou avant de braquer un 9mm sur sa tempe. «Mais c’est une exécution ma parole!»

J’entrais dans la pièce et avec ma vitesse désarmais un à un ce commando sans aucune difficulté. Je jetais les armes à la fenêtre, je pouvais constater que niveau menace il n’y avait personne dans cette pièce. A part Ben Laden et ses femmes terrés dans un recoin pleurant de peur tout en tremblant de tous leurs membres.

«Qui est le commandant de cette équipe de mes deux!
-: Commandant John Simmons.
-: Déjà j’étais chargé de le tuer, mais je comptais l’interroger avant quoi que se soit. Alors dite moi commandant qui vous donner cette ordre.
-: Je n’ai pas à vous le dire.
-: Répondez avant que je m’énerve!
-: Vous croyez me faire peur?
-: Vous faites partie des SEALs à ce que je vois, vous pensez sans doute être immunisé contre la peur.
-: Car j’ai vus des horreurs tout au long de ma carrière.»

Cette fois je sentais au tréfonds de mon âme corrompu une rage sans équivalence, je me devais de la contenir. «J’ai bien envie de lui montrer une véritable horreur.» Je le regardais dans les yeux alors que les miens scintillait d’un blanc éclatant dans une galaxie d’étoile.

«Ce que vous avez pu voir n’est rien, comparé à ce qui existe vraiment.»

Je pouvais lire dans le regard qu’il me défiait sans la moindre hésitation, j’en avais vu des courageux. Mais aucun d’aussi téméraire que lui alors que ses hommes eux même baissait les yeux face aux miens. Toujours face au commandant.

«Sergent!
-: Oui Monsieur?
-: Tuez le!
-: Stop!
-: Ne l’écouter pas, je vous ai donné un ordre alors obéissez!»

Ne sachant que faire il hésitait son chef lui ordonnait de le tuer, mais moi je le voulais vivant. Quelques minutes plus tard rien ne changeait, il semblait pris entre le marteau et l’enclume. La pression que nous exercions le tourmentait profondément. J’attrapais alors mon opposant par le coup et l’envoyais contre le pur derrière lui, sentant sa flamme de vie je me retournais et faisais face aux autres, le capitaine du groupe essayait alors de le faire mais l’arrêtant je lui retournais la rotation du coude avant de le jeté au sol. C’est alors que le lieutenant sortait un petit couteau caché dans sa ceinture et trancha la gorge du terroriste présumé. Le lui reprenant et lui retournant tout en le plaquant contre le mur le plus proche.

«J’ai dit que je le voulais vivant pour l’interroger! bo**** vous avez quoi dans lcrâne?
-: J’ai obéis aux ordres et suis prêt à mourir si vous compter le faire.»

Cette fois je me sentais vraiment mal, rien auparavant ne m’avait mis dans un tel état. Comment Décrire ce qui ne peux l’être? La rage brulait en moi, j’avais l’impression que mon humanité se consumait dans les flammes de la folie. Mes instincts vampiriques trop souvent mis en sommeil réclamaient leurs existences, j’essayais de me reprendre mais cette force si puissante me submergeait. Je me tenais la tête car un bruit sourd me perçait les tympans et un marteau piqueur se mit à la tâche pour en mettre une couche. Ils me regardaient l’air ahuri, se demandant ce qui m’arrivait.

C’est alors que je perdais connaissance les pressions et la violence des chocs avaient eu raison de moi. Je me réveillais dans la pièce quelques minute plus tard, reprenant mes esprits je me jetais sur le lieutenant et le ruais de coup de griffe rageur, et pour finir je lui ouvrais la gorge à son tour, mais en évitant les carotides et autres point vitaux. Debout devant eux je reprenais vraiment conscience et regardant autour de moi, je voyais la terreur dans leurs yeux. «Mais qu’est ce qui s’est passé?» Bien que j’avais repris mes droits sur moi-même je sentais autre chose, comme si une autre personnalité était apparu. «A leurs réaction on dirait que c’est moi le fautif, pourtant je ne me souviens de rien.»

«On peut me dire ce qui s’est passé?
-: Vous l’avez frappé avant de l’enchaîner avec vos griffes et lui avez ouvert la gorge.»

«Comment je pouvais faire ça, alors que j’étais inconscient?» Cette question trouva bien vite sa réponse quand une voix se mit à résonner dans mon crâne.

«Il était temps.
-: Comment ça temps ? Temps de quoi?
-: Tu nous as trop mis au rencart, nous sommes désormais deux esprits dans un seul corps.»

Je sentais toute la rage de mon autre moi, une partie humaine et une autre vampirique revendiquant le droit d’existence. Laissant les type partir me regardant comme un fou, après tout ayant désormais une autre personnalité on pouvait dire que j’étais skizo ce qui me plaisait guère. Je devais rentrer au plus vite et régler cette affaire avant quoi que ce soit. De retour dans les locaux j’avais avertis tout le monde et je fus mis à l’écart pour raison d’instabilité humanitaire.

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C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.

@Vivien Je viens juste de finir de lire ton extrait...c'est vraiment intense!

Entre les dilemmes moraux du soldat, le sentiment de n'avoir aucun ami et l'obligation d'être irréprochable dans un pays où l'OTAN est mal vu...Et puis les difficultés entre le désir de faire un geste noble et les ordres sanglants...

Les difficultés d'avoir un équilibre entre le côté humain et le côté vampirique sont aussi remarquables. On ressent vraiment la lutte interne du personnage.

Je me demande comment sera la suite...le protagoniste subira-t-il un tribunal militaire?

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Avec effort et persévérance, un débutant peut devenir expert!

Vous avez crus que je mettrais instabilité mentale? n'oubliez pas qui je suis .

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C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.