Merci Tristan. L'action se trouvant à la fin, n'est pas trop tardive?
Voilà la suite.
Avant le combat je vais vous parler un peu mieux du lieux. Le sol du c** de sac formé par des pavés relier par un joint... pas ceux qu'on fume... Ce qui donnait une route stable, comme au temps de l'époque Romaine. Sur le mur de gauche, en faisant face au c** de sac, se trouvait un escalier de secours en fer noir. Dus surtout par la rouille, plus qu'à la couleur. Deux lampadaires censé éclairer ce coin se trouvait là, mais étant mal entretenus par le service, le premier éclairait par intermittence. Les clignotements si rapide de cette ampoule avait rendu fou pas mal de monde. Le second quand à lui n'éclairait plus rien car son ampoule avait exploser. La cause? Une balle perdue lors d'une guerre des gangs. Car oui, ici comme ailleurs des gangs s'étaient formé. Après tout il s'agissait d'une ville comme une autre. Mais avec des flics comme O'Grocalibr, on n'était pas près de les voir derrière les barreaux.
Les poursuivants de Teslo et Eugénie le couple précédemment cité, étaient des membres d'un gang. Composé de quatre hommes. Le premier se trouve cité sur la précédente histoire. Se trouvait de même taille que Lucien, mais avait des muscles 4 fois plus développé que lui. Habillé tous de cuir, comme les motards. Car c'en était. Il tenait dans sa main droite un couteau de chasse, poignée en aluminium noir avec une lame en fer pur de 10cm. Elle avait deux cotés différent, le premier était semblable au couteaux alors que le second avait des crans placés comme des crochets tout le long de la lame. Tout les membres sont armé de cette façon.
Revenons à ses compagnon, les trois autres avaient une corpulence beaucoup moins développé que leur camarade. Mais certes présente, ils regardaient ce qu'il se passait sans se soucier de surveiller les alentours. Voici une erreur qui ne pardonne pas. Alors que le combat allait commencer, moi je me faufilais tel un prédateur, dans l'ombre pour mieux surprendre mes victimes. Comme on me l'avait enseigné. Je me trouvais à l'angle de la rue Lapoisse et le c** de sac rue Portenawak. En ne laissant passer que le coté droit de mon visage je pouvais voir Eugénie toujours Évanouie. Lucien Faisant face à ce musclé. Ainsi que les trois autres regardant la scène tout en riant comme des baleines. Je pus voir que Le combat venait tout juste de commencer. Lucien évitait les coups comme il pouvait. Il y arrivait à chaque fois de justesse, mais le sixième lui tranchait la peau du dos. Mais seulement la peau, le sang commençait à se manifester. La douleur le cloua un petit moment. Ce type riait voyant que Lucien avait mal.
N'écoutant que mon courage, je me faufilais derrière les trois types. Leurs couteaux se trouvaient dans leurs fourreaux placé sur leurs hanche gauche. Je les prenais avec une telle discrétion qu'il ne remarquaient absolument rien. Avec le combat qui se passait, leurs attention se trouvaient au niveau zéro. La distraction parfaite, pensais-je. Chaque couteau retiré, se retrouvait dans mon dos. Entre mon jean et mon sous-vêtement... Non, non, non, vous ne saurez pas ce que c'est... Une fois le troisième retiré, j'avais remarqué dans le dos de celui là un flingue de calibre 9mm. Etant à cet endroit, il se trouvait impossible de le prendre sans l'alerter sur ma présence. Je dus faire un choix en une seule seconde. Ma décision prise je prenais deux de mes nouveaux couteaux et me plaçais entre deux d'entre eux. Lucien avec une nouvelle esquive de l'attaque, me vis. Je lui signalais de ne rein dire ou rien faire indiquant ma présence en plaçant mon index droit à la vertical sur mes lèvres. Puis je levais les bras, tenant les couteaux à l'envers. Les lames dirigées vers deux nuques. D'un geste vif comme l'éclair je les plantais. Les lames ressortaient de l'autre coté. Avant qu'il ne comprenne ce lui arrivait, je me plaçais derrière le troisième. Je le saisissais en entourant son cou avec mon bras gauche et attrapant son bras droit avec ma main droite. Je ramenais son bras derrière son dos, avec un coup de pied gauche dans l'arrière de son genoux il tombait au sol. Seulement comme je le tenais, je maîtrisais le direction du corps. Il était désormais à genoux, me décalant sur ma gauche je lui relevais son bras. D'un geste vif, je me saisissais de son arme et la jetais derrière moi. Je prenais le dernier couteau et le plaçais sous la gorge de ce type. Je savais que si je le laissais en vie, il recommencerai ses activités. Alors je lui tranchais la gorge, m'assurant que les deux carotides soit bien coupés toutes les deux.
J'avançais d'un pas sur, voulant surprendre le musclé. Mais comme le dis si bien le dicton « tel est pris qui croyait prendre» Sortant de l'ombre du c** de sac, trois type de même taille et de même corpulence que moi, venaient à moi. Chacun était armé de façon différente. Celui de droite avait une baramine, celui du milieu avait un pied de biche et le dernier à gauche était armé d'une batte de base-ball en aluminium avec des pointes de 5 cm sur le bout arrondit. J'aurai dus mieux faire gaffe, Pensais-je. Tant pis ils veulent se battre, ils auront la mort. Pensais-je encore. Pendant que je pensais, mes adversaires m'encerclaient. Je les observaient, essayant de voir lequel attaquerai le premier.
C'était celui à la batte qui se lançait sous le regard de ses compères. Il voulait me frapper en balayant l'air de son bras droit avec son arme. Pour riposter je me rapprochais de lui et bloquais son coups avec mes deux mains, le tenant toujours avec la droite je me tourne et lui donne coup de coude dans l'abdomen. Ensuite j'encercle son bars avec mon bras droit, ainsi que son avant bras avec mon bras gauche. Un geste rapide et précis lui inversait le sens de rotation du coude. Avec la douleur il lâchait son arme, que je récupérai pour ensuite l'assommer pour le calmer. Sauf que les pointes de la batte l'avait calmer mais, c'était de façon définitive. Une partie son visage se retrouvait arracher par les pointe. Le tout couvert par le sang giclant partout où le visage était dirigé. Les deux autres pris par la colère, la haine et une envie de vengeance, se lançaient sur moi. Je bloquais celui qui me faisait face, et avec un coup de pied bien placer dans l'estomac le fit reculer. Je me retournais très vite pour ne pas être surpris par le dernier. Je bloquais toutes ses attaques puis avec un léger coups sur le bras, il lâchais sa baramine. Ensuite je lui lançais la batte et se pris la poignée en pleine tête. Celui au pied de biche, avançais dans mon dos tranquillement. Ayant deviné très vite le plan, grâce à l'expression du visage de son comparse. Voyant qu'il souriait, j'avais compris que celui de derrière était tous proche.
D'un mouvement vif comme l'éclair et surprenant les deux adversaires, je donnais un coup de poing dans l'abdomen, puis un uppercut dans le menton et avec un mouvement de rotation sur ma gauche je lui tournais le dos pendant quelques centièmes de secondes puis tendant ma jambe gauche je le cognais dans l'estomac. Ce qui l'envoyait contre le mur le plus proche. En le regardant je vis qu'il était inconscient. Je faisais de nouveau face à celui de la baramine. Il me regardait avec un air qui voulait dire qu'il voulait ma mort. Il repris son arme et moi je prenais le pied de biche. On se battait de nouveau mais comme si nous tenions des épées. Puis avec un mouvement habille pour contrer son coup, je lui retirais son arme et la balançais loin de nous pour ne pas la revoir. Étant un homme droit, je lançais mon arme pour être à armes égales. C'est à dire à main nue.
Il tentais de me donner un coup de poing avec le droit. Mais j'esquivais en me décalant sur la gauche, je me sésissais de son bras et le faisais tourner suivi par le corps. Il fit un salto avant, atterrissant au sol sur le dos. Je m'éloignais de mon adversaire le laissant se relever. Je trouvais le combat peu intéressant, étant à moitié conscient ses réflexes étaient moindres. Il tenait à peine sur ses jambes, alors je commençais à partir mais ayant pris le flingue, il tentais de me viser. Il tira un coup de feu...
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C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.