Les Forums de Tomb Raider Online

Suite et fin de mon annexe Bonne lecture




« Elle est passée où ?
- Hé bien ... si un jour Lara découvre un squelette humain dans une cr**** de dinosaure au cours de ses recherches ... on saura qui c'est ...
- Sérieusement ?
- Hélas oui.
- On ne peut plus rien faire. Maintenant elle, elle est bel et bien morte.
- Haa ...
- Bon on va devoir continuer.»

Je m'approche du rebord avec méfiance et jette un regard noir à la lave. Mathieu me rejoint dans mon dos. Visiblement la lave n'aime pas mon regard, une bulle se forme à sa surface et explose, nous projetant de la lave au visage. Je fais un bond en arrière, heurtant Mathieu au passage.

« Mais tu ne peux pas faire attention ?
- Mais c'est toi qui est dans mes pattes !
- Et toi tu pourrais voir où tu recules !
- Mais je fais ce que je peux !
- Oui mais ... ooh ! ... tu as une partie de la mâchoire qui brule !
- Ha ouais ça se peut, attends j'essuie le reste de lave et c'est bon.
- Bon on y retourne ? Je pense qu'on pourrait passer par ce petit ponton là.
- Ouais, on y va.»

On se rend sur le ponton et on s'y engage. Peu fier de nous, nous avançons en canard et agitant les bras, de peur de tomber, tellement le ponton est fin. Avez vous déjà vu un canard au décollage, quand il court ? Oui ? Hé bien vous avez une vision de nous deux sur ce pont. Charmant n'est-ce pas ?

Bref nous voilà sur une île avec un bureau. L'ile a un aspect de mort, des pointes acérées partout, de la lave rouge sang qui zigue-zague entre elles, des vapeurs de souffres insupportables qui s'échappent d'orifices... Je sais ce qu'il y a sur le parchemin, mais Mathieu, obéissant à sa curiosité s'y rend pour observer. Il fait le tour du bureau, une main sur celui-ci, le caressant, moi je l'observe. Il se trouve là où il devrait y avoir un siège, il se penche sur la feuille, se fait chatouiller le nez par la plume de passage à ce moment. Après avoir éternué il commence à lire ce qu'il voit se faire écrire sous ses yeux :

« Il tourne en rond dans sa cellule. Il est dégouté de ce qu'ils lui ont fait ! Pourquoi, pourquoi ne pas s'allier à lui ? Pourquoi ne pas comprendre qu'il n'est là que pour le bien ? Pourquoi l'avoir mis en prison ? Toutes ces pensées défilent dans son cerveau bouillant. Il jette un coup d'œil par les barreaux de sa cellule. Il pense à tout ce qu'il rate, tout ce qu'il pourrait faire en étant dehors. Il pense à son avenir maintenant incertain. Il espère que ses rares amis qu'il s'est fait en créant son parti continueront son combat. Un rayon de lune passe à travers les barreaux et se posent délicatement sur son petit bureau de sa cellule. Ils caressent un stylo-plume et une liasse de papier.
Le pauvre homme s'y rend, il pense à ce qu'il va continuer d'écrire ... peut-être à son échec de tentative trop brusque pour prendre le pouvoir, écrire qu'il va essayer de manière tout à fait juste et légale de se mettre à la tête de l'état, et enfin, de le sortir de la misère, de la crise économique actuelle. Il aligne toutes ses idées en place puis prend la liasse. Il passe amoureusement les doigts sur le titre qu'il a écrit sur la première page, puis sur son nom, juste en dessous : Mein Kampf, von Adolf Hitler »

Mathieu se rejeta en arrière, d'un air pâle, puis au bout de quelques secondes il me dit :

« Mais s'est la bio d'Hitler !
- On peut dire que tu es observateur toi.
- Mais alors tous les autres bureaux que l'on voit ...
- Écrivent d'autres vies.
- Toutes les vies sont écrites ici ?
- Oui, toutes.
- Même les nôtres ?
- Oui, même les nôtres.
- Mais alors ... je pourrais prendre la plume, et faire mourir Hitler d'un arrêt cardiaque dans sa cellule avant qu'il ne devienne chancelier et ainsi sauver des millions de vies ?
- Essaye»

A voir son visage, je devine qu'il a compris qu'il ne pourrait pas. Mais il essaye quand même. Il approche timidement la main de la plume mais le même effet que les aimants de même polarisation survient. Sa main est repoussée par une force de vecteur contraire. Mais les forces des aimants peuvent être contrées si on insiste, donc il insiste sur la plume, l'idée de sauver le monde derrière le crâne. Il parvient à la plume. Sa main vole en éclats. La plume elle, elle n'a rien et continue d'écrire d'un air anodin.

« Ma main !
- On ne peut pas changer l'Histoire, elle est écrite et s'écrit d'elle même. Aucun humain ne peut directement interférer à sa source, c'est à dire d'ici. Pour la changer il faut retourner dans le monde réel, sur Terre, et œuvrer à la modifier par d'autres moyens que la réécrire d'ici.
- Mais ma main !
- Tu es mort, tu ne vas pas avoir trop de problèmes, tiens j'ai du scotch.»

Mathieu, me regarde d'un air étrange et part ramasser ses doigts. Je sors le scotch et m'approche de lui qui s'est assis sur un rocher.

« Allé maintenant on va jouer au docteur !
- Et toi tu es l'infirmière ?
- Oui moi je suis la gentille infirmière bien serviable !
- Oh oui !!
- ...
- ...
- On est grave quand même ...
- Ouais enfin quand on est seuls perdus au milieu de nul part on s'éclate comme on peut.
- Oui, bon tends moi ta main Mati.
- Fais gaffe hein ! Je veux garder une belle main !
- Bien sur ! Nan mais tu crois quoi toi ?
- Ba je sais pas ...
- Je vais pas aller abimer Mati ! »

Et en discutant ainsi de choses totalement inutiles, je finis ses mains. Il les regarde d'un air critique est approuve finalement le recollage des doigts, qu'il, à sa grande surprise, peut encore bouger. Mais il sait qu'il ne peut plus véritablement les réutiliser sans détacher le scotch.

Je m'approche à nouveau du bord de l'ile. La prochaine nous est aussi reliée par un ponton mais celui-ci part du centre de notre ile, par en-dessous. Mathieu fait remarquer qu'on pourrait sauter sur le petit pont, mais après lui avoir jeté un coup d'œil, il change d'avis. Une multitude de petites stalagmites le recouvre. Il n'y a qu'un seule solution pour le franchir, j'en fait part à Mathieu.

« Suis moi.
- C'est ce que je fais depuis tout à l'heure...
- Fais comme moi.
- Heeuuu ... on est obligé de se mettre si près du bord là ?
- Oui.
- Parce que la lave juste en dessous ne m'inspire pas trop...
- Même si elle ne t'inspire pas fait comme moi.
- Ha non mais là si, comme toi, je tends un pieds au dessus du vide, je sens que finalement la lave va m'inspirer pour ensuite expirer mon cadavre à moitié cramé ...
- Tu es déjà un cadavre.
- C'est pas faux ... bon je tends mon pieds et ensuite ?
- Laisse toi tomber en avant.
- PARDON ? J'ai cru mal entendre...
- Laisse tomber.
- Alors là te laisser tomber toi et repartir OK, mais me laisser tomber moi là-dedans ... NON !
- Fais le.
- Rêve ! ... heu Lucien ? Tu es où là ?
- En dessous de toi.
- Qu'ouïs-je ? En dessous ?
- Regarde »

En dessous de moi j'entends Mathieu grommeler et se mettre à genoux. Et je vois apparaitre son visage par dessus le bord. Je me mets aussi à quatre pattes et je m'approche de ce visage pétrifié de surprise. Je suis allongé, c'est assez rigolo, c'est comme si je regardais mon reflet à la surface d'un lac, sauf que mon reflet est beaucoup plus beau, a un regard ébahi et qu'il n'y a pas de surface de lac entre moi et lui.

« Coucou toi !
- Coucou sol ! Mais comment c'est possible ?
- C'est simple, la gravité a d'autres lois ici, puisque nous sommes au centre de la Terre. Nous sommes attirés par le centre de l'ile où nous nous trouvons, un peu comme dans Super Mario Galaxy ...
- Vivent les références !
- Oui c'est vrai ...
- Enfin bref donc on peut marcher partout ? C'est cool ça !
- Allé rejoins moi !
- Yep ! »

Je vois le haut de son corps disparaitre, et l'entends prendre son inspiration. Sachant ce qu'il va se passer, je prends le soin de me décaler d'un pas vers la gauche. J'ai bien fait. Je vois le corps de Mathieu décrire un magnifique arc de cercle en face de moi, bras ballant, regards terrifié, puis s'étaler face contre terre.

« C'est plus dur qu'il n'y parait, n'est-ce pas !
- J'avoue ...
- Il va te falloir un certains temps pour t'y habituer, après tu verras, ce sera facile.
- Parce que je suppose que toi, tu as réussi immédiatement ?
- Bien sur !
- C'est pour cela que ton front est à moitié ouvert et sanglant ?
- Euh ... et si on continuait ?
- J'en étais sûr ... traitre.
- Il n'y a pas de vaches dans le coin...
- Pardon ?
- Non rien...
- Oui il vaut mieux oublier ce que tu viens de dire... surtout que c'est «traire»...
- Oui... »

Maintenant que nous sommes à l'endroit, nous pouvons nous engager sur le pont, sans risques. De nouveau nous voilà sur une ile, mais à l'envers, nous revenons dans le bon sens en prenant soin, cette fois, de nous accroupir pour changer de côté.

« Et cette fois on est chez qui ?
- Chez les fous, pourquoi avoir créé un monde comme ça ? Non plus sérieusement, c'est à toi de savoir, c'est toi qui a farfouillé partout dans la bibliothèque.
- Il suffit d'aller lire le roman.
- Oh cette fois c'est toi qui le fait, je n'ai pas envie de retrouver des horreurs sans nom...
- Okay, bon je cite : « Il tapait cette fic en se demandant comment caser une autre blague mathieusque. Il se demandait surtout comment continuer jusqu'à l'arrivée sur l'ile principale. En plus il pensait en même temps à ce fichu chevalier Danceny sur lequel il n'avait toujours pas fait sa rédaction et le fichu poème en anglais qu'il n'avais toujours pas appris et qu'il allait devoir réciter le lendemain. »
- Ça me dit quelque chose...
- Ouais c'est la vie de mon vrai moi.
- Donc il y a le nous de la fic dirigé par le roi pourpre et le vrai nous de la vie réelle ?
- Visiblement. Et je dois vraiment être idiot d'écrire cette fic plutôt que d'apprendre mon poème.
- Oui. Alors je dois aussi être ailleurs ?
- Surement.
- Et pour atteindre l'ile principale, il va falloir sauter et on atterrira en dessous cette fois non ?
- Je pense... oh attends ... « Il se réjouis à l'idée de ce qu'il va faire subir à son personnage durant la chute et la blague mathieusque (copyright déposé) qu'il va mettre » ... Mais je suis un sado-mazo !
- Visiblement.
- J'hésite à sauter subitement...
- Comme c'est étrange... Bon moi j'y vais. »

Et Mathieu passe par dessus bord. Je m'approche, craintif, du bord de l'ile. En dessous, en face de moi, se trouve le dessous de l'ile principale, gigantesque, et entre les deux, de la lave. Je recule, prends une profonde inspiration, cours et saute. « Tu es vraiment ridicule en agitant pieds et mains comme ça, Lucien ... » Je remercie mentalement Mathieu pour ce précieux soutient mental. En entrant en contact avec la surface rocheuse, ma main se tranche net dans la longueur, sur un caillou.

« Pas grave, tu as du scotch.
- Ça ne marchera pas...
- Mais je voulais être l'infirmière cette fois ci !
- Non, la blessure est trop grande, ça cèdera tout de suite.
- Pas grave ! On a que à les mettre en contact et avec un fer chaud, bruler pour favoriser la cicatrisation et cautériser !
- Non, mes chairs sont mortes, ça va les cramer.
- Bon bah si tu veux pas cautériser tu resteras cutterisé alors.
- Mon dieu... c'était ça la blague que le vrai moi a imaginé...
- Tu n'as pas un max d'imagination. Et pourquoi faire dire ça à moi ?
- Je ne sais pas. »

Je me relève et on se met en marche vers le bord pour changer de sens. On constate que le bord est hérissé de pointes. Je fais remarquer qu'on pourrait sauter au dessus, et avec la gravité détraquée, retomber de l'autre côté. Mais la suprême intelligence de Mathieu lui fait dire qu'on ne sait pas jusqu'où vont les pointes de l'autre côté... Que ferions nous sans lui... On se balade donc sur le dessous de l'ile. Tout le bord est comme ça. Mathieu me montre une colonne au loin. «Nous n'avons qu'à nous jeter dessus, la gravité nous fera tenir dessus, et nous serions parallèles à l'ile. Libre à nous ensuite de voir où sauter. » Quel Mati quand même ! Nous faisons donc ce qu'il a dit. Je saute en premier, m'étale sur la colonne comme George de la jungle... finalement je ne m'habituerai jamais à cette gravité customisée. Je me relève et observe Mathieu qui réfléchit. Ensuite tout se passe très vite. Il prend son élan, bondit sur la colonne, les pieds en avant, pose les mains au sol en atterrissant, pousse un grand coup sur ses jambe pour bondir en arrière et fait une mini roulade dans les airs pour se retourner. Le voilà sur l'ile, debout et fier de lui. Il se retourne pour me faire signe de venir. Je saute, vise mal, et lui tombe dessus. Allongés tous les deux l'un sur l'autre.

« Ça te dérangerait de te pousser là, Lucien ?
- Heu... non, non.
- Hé bien fait le alors...
- Heu... oui »

Je me relève honteusement, en me demandant ce qu'il pouvait être en train de s'écrire sur mon papier de vie. Mathieu aussi se relève et ne semble pas vouloir faire de remarques. Il avance vers le centre de l'ile. Elle est conique. Au sommet on voit le dossier d'un siège, surement le trône du roi. Il dégage une lueur pourpre et noire, mouvante. En montant, je ramasse un bout de parchemin qui traine.

«La porte de la morgue était grande ouverte. Des chapes d'odeurs nauséabondes en sortaient. Une seule lampe de bureau y était allumée. GagOo ne se sentait pas à l'aise. Quelque chose clochait. Plus aucun bruits ne venaient.
Une porte claqua. Puis une autre. Et encore une autre. Celles qui fermaient les emplacements des cadavres. GagOo dirigea la lampe de bureau vers l'un des espaces ouverts, et vit une main noire en sortir. « LEROY !! » Ils coururent vers la sortie. Mais une fois Leroy sorti, la porte se referma sur GagOo. Leroy essaya de rouvrir la porte. Mais à travers la vitre, il pu voir une des mains prendre le visage de GagOo et la tirer en arrière.
Il se mit à courir. Il y avait une autre issue possible. La salle des artéfacts. C'était là où se trouvait la plus grosse bouche d'aération.
Il descendit les escaliers. Et sur le sol du niveau -6, il les vit. Les membres morts... Pinou, MickaelB, Amélie, Selkie, et tant d'autres. Posés sur le sol dans des postures de poupées désarticulées. Il sentit quelque chose lui attraper le mollet. C'était la main de Kihaa.
Ils se levèrent tous. Leroy se savait perdu. Tandis que Selkie allait lui mordre l'arrière du crane, il sombra à son tour au pays des pommes. »

Je laisse tomber la feuille, bouche-bée, nous n'avions pas prévu ça avec Teslo... pourtant nous savions presque tout... Je cours avertir Mathieu, qui fait une tête encore pire que la mienne. Nous atteignons enfin le sommet, en nous serrant de peur l'un contre l'autre, pensant à tous les autres qui venaient de mourir... et il n'y a pas pire moyen que de le découvrir sur un bout de papier qui traine par terre. On arrive derrière le siège. Nous faisons le tour, chacun de notre côté. Nous nous retrouvons en face du Roi Pourpre. Je savais déjà qui c'était, je n'étais pas surpris. Mathieu en revanche... face à la masse de cheveux pourpres...

«Mais c'est encore lui !
- Qui ça lui ?
- Ho mais tu sais bien... N'Aurel !
- Ou la cuisse ?
- Personnellement je préfère la cuisse à l'aile.
- Moi aussi, ou les blancs.
- Oui les blancs sont mieux... mais ce n'est pas vraiment le sujet de discussion !
- J'avoue, mais il fallait absolument que je la case, cette phrase !
- Non mais j'halustring ! Mais il est combien de personnes ?
- Ce n'est pas vraiment Aurélien.
- Comment ça ?
- C'est l'Auteur. Celui qui nous manipule tous.
- Il écrit l'Histoire ?
- Oui, les plumes sont ses sujets, nous ses jouets.
- Et maintenant ton plan ?
- Il se met en marche.
- Comment ça ?
- Ils arrivent.
- Qui ça ?
- Les autres. Teslo sait que je suis là, je lui ai envoyé nos coordonnées, nous ne pouvions pas trouver cette endroit avant. Il fallait que l'un de nous deux y arrive par un moyen ou un autre pour envoyer les coordonnées à l'autre. Et ainsi attirer tout le monde ici... enfin tout le monde... les survivants...
- Mais tous sont morts !
- Non.
- A part Lara, oui...
- Non, même elle elle va... enfin... il y a encore une survivante, mais vous semblez l'avoir tous oublié.
- Qui ça ? »

Et pendant ce temps, l'Auteur écrit tranquillement, face à nous, comme si de rien n'était. L'Histoire coule du bureau, déposée sur un rouleau de parchemin, comme une rivière, qui s'étend entre nous deux. La lave commençait à se faire plus active et virulente au dessus et en dessous de nous.

« Lara, va arriver, mais regarde ça.
- Quoi ça ?
- Cette partie du parchemin. Ici.
- D'accords »

Il se penche et commence à lire : « Eugénie était cachée dans un des petits recoins des bouches d'aération qu'elle avait découverte. Elle était terrifiée. Elle savait que tout finirait par mal tourner. Ses genoux tremblaient sous sa mignonne petite robe violette. Elle avait peur. Elle devenait presque folle. Elle ne souhaitait qu'une chose, que Lara arrive, que quelqu'un vienne la sauver. Que quelqu'un la sorte d'ici, que quelqu'un retrouve la ballerine qu'elle avait perdue en courant se cacher. Que quelqu'un l'aide à sauver son chéri, elle était sure qu'il n'avait pu mourir. Mais pour le sauver, il fallait qu'elle se sauve elle-même avant. Elle repoussa timidement la grille de la bouche d'aération. Passa la tête, entendit un gémissement suivit d'un souffle rauque. Elle ferma délicatement la grille pour ne pas se faire repérer et observa, terrorisée, le cadavre de GagOo passer dans le couloir. La peau à moitié arrachée, le cœur apparent, encore battant et fumant, un œil pendant d'une orbite au bout de son nerf optique. Elle n'en pouvait plus. Il fallait qu'on vienne la sortir de là. Elle fondit en larmes, découragée, seule dans le courant d'air glacé de l'aération.»

« Eugénie a survécu ?
- Bien sur, puisque c'est écrit.
- Tu le savais ?
- Je savais qu'elle viendrait, mais pas qu'elle serait la survivante d'un massacre monstrueux.
- Et on ne peut aller voir le Roi pour tout changer nous même ? »

Il va vers le Roi, mais la répulsion est encore plus puissante que celle des plumes, on ne peut même pas s'approcher à moins de cinq mètres du bureau. Des éclairs fusent de toutes parts quand Mathieu essaye de forcer le passage, de toutes les forces dont il est capable.

« On fait quoi alors ?
- Nous attendons.
- On attends ?
- Oui.
- C'est tout ?
- Notre rôle est terminé ici, c'est au vivant de prendre le relais.
- Mais... pourquoi m'avoir fait venir ici ?
- Je ne pouvais me résoudre à te voir mourir définitivement, même si je savais que tu finirais par revivre forcément.
- Oh.... je me sens un peu mal à l'aise là...
- Hum....
- Ouais bah... voilà quoi....
- Tu veux une sucette ?
- Pardon ?
- J'ai des sucettes à l'anis.
- Tu peux répéter... lentement...
- J'ai... des... sucettes... à... l'anis...
- Tu te fous de moi là ?
- Non, j'avais fait des réserves avant de mourir, j'en ai dans mon pantalon.
- Tu crois vraiment que je vais te...
- Pas de pensées déplacées si il te plait... regarde, j'ai une sucette de sucre d'orge aromatisée à l'anis.
- Ooooh... ouais pourquoi pas, passes en une.
- Tiens. »

Et nous voilà tous deux, assis sur une pierre, à sucer des sucreries, comme des enfants, au milieu des flots d'écritures lâchés par le Roi Pourpre, juste derrière nous, à attendre l'arrivée des autres. La Terre commençait à trembler fortement, il devait se passer des choses horribles à la surface... mais nous, nous étions en dehors de ça, au centre, avec nos sucettes, à attendre comme des enfants sages.

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                                             | Mister TRO 2009 |

vraiment halucinant!!!!! bravo je te félicite.

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C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.

Génial ! le passage ou tu me décrit ça me correspond tellement meme de penser a la chaussure que j'ai perdu ça m'est deja arrivé en situation grave de stresser pour des affaires perdu

Mais voyons, tu es ma chérie Je sais tout de toi

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                                             | Mister TRO 2009 |

un couple est formé?

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C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.

Je sais pas, on va voir ..... *sort une bague* .... Eugénie, veux tu être ma fiancée ?

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                                             | Mister TRO 2009 |

Oui je le veux !

Et me***...
Je vais devoir mettre des scène de romance dans la suite @_@
Merciiiii...

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If you could rewrite our life any way that you please,
Would you tear out the pages of our memories?

OOOOOOOH !

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                                             | Mister TRO 2009 |

félicitation a vs 2. prévien moi pour le mariage.

La capture du gardien


Je me trouvais allongé sans connaissance, les hyldens m'emmenaient dans le désert blanc de Nosgoth. Ce qui fut le territoire du vampire Dumah. Ce territoire se trouvait être recouvert de cendre mais vous aller me dire que les cendres sont noire. Je sais mais ici elles sont de couleur blanche. Voici le chemin que nous suivions. Ces êtres sortait du sanctuaire des clans en détruisant les portes principales. Ces portes furent forgés en acier trempée, pour tout vous dire il fallait être un vampire pour pouvoir l'ouvrir, au début du règne de Kain. Elles mesuraient 2m50 avait la forme des porte du temps du Moyen Age. La base rectangulaire surmonter d'un quart de cercle sur chaque. Le poids de ces portes doit approximativement être dans les environs, d'une petite tonne. Une fois sortis de ce lieu, Ils avancèrent droit devant eux, passant dans un trou dans la roche. Assez gros pour que tous le monde puisse passer, comme les tunnels mais celui ci est très court à peine rentrer vous faite trois pas que vous étiez déjà de l'autre coté. Ensuite Ils tournèrent à droite on rentrait dans un autre tunnel mais un peu plus long et ayant des virages très serrés. Mais un combat eu lieu entre eux et un survivant du clan de Dumah posté ici. Seul contre eux il n'avait aucune chance. Une fois vaincu, nous allions au près des abysses. C'est ici que d'autre de leurs congénères les rejoignaient, mais leurs particularité est qu'ils possèdent des ailes. C'est ainsi que je passaient d'une race de hyldens sans ailes à leurs semblables ailé. Nous passions au dessus des abysses, qui se trouve être un tourbillons de feu et de flamme, de couleur bleuté pour la surface mais en allant plus en profondeur le vert se trouvait être de plus en plus clair. C'est ici que Raziel fut jeté. Mais ceci est une autre histoire. Nous étions sur les terres du clans Dumahim. Les structures toutes de pierres blanches, recouvertes par les cendres mais le palais du chef était plus recouvert par les cadavres de son clan plus que par cette neige cendré.

Les Dumahim étaient les vampires les plus commun de Nosgoth, leur force physique se trouvait être bien supérieur à l'homme le plus fort du monde. Pour info une simple claque de leur part, et cette homme se retrouverai dans le coma. Après un vol plané de plusieurs mètres... mais leurs apparence monstrueuse, du à des siècle d'évolution, se retrouvait avec la peau de couleurs noire, rayer de couleur vert foncé au niveau des épaules et des poignets. Une langue semblable a celle des alien dans le film du même nom se trouvait présente. C'est grâce à elle qu'il se nourrice de leur victime. Une fois morte ces monstres lancent leur langue en elle ce qui dévore la chaire, puis une fois bien ouverte, le sang se trouvait aspiré par cet organe... Finalement je vais vous épargner les détails... je m'en voudrais de vous rendre malade.

La cour où nous nous trouvions avaient que des cadavres de vampires allongé sur le sol. Dans toutes les positions comprises. Nous entrions alors dans cet endroit sacré par lui, ensuite foulé par les chasseurs, pour finir refoulé par Raziel des siècles après son exécution. A ce moment là, c'était les hyldens qui profanaient cet endroit. Partout dans l'édifice, nous pouvions voir le symbole du clan. Après un long chemin nous nous trouvions dans la salle du trône. Les vitres plus grande encore que dans le manoir Croft. Avec des dessin dessus montrant la puissance de ce clan. Mais par contre la bâtisse du subir des combat terribles, car par endroit se trouvait des trous, dans les mur, le plafond, le sol aussi. C'est là que je me retrouvais enfermé dans une cage, toujours inconscient. Il prirent l'épée pour ne pas que je puissent m'en servir. Mais ne savent t-ils pas qui je suis?

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C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.

Félicitation pour les fiançailles Eugénie et Teslo il faudra m'invitée au mariage !!
Teslo > la suite de ton annexe est super !! on s'est enfin qui est le roi pourpre !!

voici la dernière partie. de la fics annexe montrat la restauration de l'équilibre.


Le retour du gardien.


Je me retrouvais la dans cette cage toujours inconscient. Le chef se trouvant sur le trône de Dumah, donnait les ordres à son armé. Une fois donné, je me réveillais. Doucement, lentement, avec mes yeux a demi ouvert j'essayais d'analyser la situation. Ils me regardèrent tous sans bouger. Même le chef ne faisait rien. Une fois ma conscience reprise, je regardais mieux les alentours. Mais mon regard fut capturé par les vitraux derrière le trône.
-: Ces vitraux!! On dirai...
Une voix caverneuse me vint aux oreilles.
-: On dirai quoi?
-: On dirai un vampire. Voyons voir... aussi grand costaud, les yeux aussi rouge que le sang.
Mes souvenirs me revenaient peu à peu. Mais lui, je voyais qui se trouvait sur ces vitraux.
-: C'est pas vrai! Dumah?!
Les créatures virent que je connaissais celui représenter. Mais ils commencèrent à me blesser avec des lances. D'abord au niveau de la poitrine, puis les bras, mon dos, même mes jambes. Je reculais pour ne pas les affronter, je ne voulais pas utiliser mes pouvoirs.
-: Trop c'est trop!
La colère régnant en moi, je soulevais une de ces créatures pour la jeter dans la direction à laquelle elle tournait le dos. Son vol plané se trouvait être terminer par une autre d'entre elle. Une fois dérouté par mon action, je passait la porte. Car oui, un de mes pouvoir consiste à traversé les barrières et porte grillé. Pas grillé dans le sens sur brûlé, mais l'autre. Une fois sortis ils se jetèrent sur moi, avec ce que je savais faire, je les repoussais. Je me retrouvais dans cette salle, avec une armée face à moi.
Je continuais encore, et toujours à me dégager de la. Mais une simple bataille de quelques créature c'était retrouvé en agro de créature. Pour ceux qui ne vois pas de quoi je parle, je vous explique. Au début la bataille m'opposait à une dizaine de hyldens, mais au fil du temps je me retrouvais à affronter une trentaines d'entre eux. Une fois sur une des statues, je regardais alors partout pour...
-: Je vais les... me***! Où est la Reaver?
Le chef toujours assis sur le trône me regardait avec un sourire moqueur.
-: Est ce cela que vous chercher?
Cette fois ma colère se trouvait à son paroxysme. Mais la haine quand à elle, montait de façon exponentielle. Je sautais de ce lieu, et arrivait au trône. Une fois que j'avais attrapé ma victime par le coup...
-: Rends moi ça? Disais je avec toute la haine m'habitant
-: Tu veux parler de ça? Demanda t-il avec une voix caverneuse étranglée.
Il me montrait mon épée.
-: Elle ne t'appartient pas! Me dit-il.
En serrant mes doigts toujours autour de son cou, les siennes lâchèrent alors la poignée. Mais avec un sort, il me propulsa derrière moi. Après avoir fait un vol plané de plusieurs mètre, je me ressaisissais, faisant un demi tour... Je vous explique comment. Je me trouvait penché vers l'arrière, la tête la première vers le mur, une fois mes esprits repris; je lançais mes pied vers le plafond qui continuèrent leurs chemin, puis une fois avoir les pieds de l'autre coté... Je pliais les genoux pour amortir ma chute, et ensuite je me lançais pour faire un salto avant, pour me retrouver avec les pieds sur la terre ferme. Le chef se rapprochait pour me faire face.
-: Mais comment un humain peut il faire ça? Me questionna t-il avec un air interrogateur, sur le visage.
-: Je ne suis pas n'importe quel humain. Lui répondis-je.
Mon visage montrait que ma haine se trouvait être au plus au point. Une envie des plus horrible me pris, même un barbare n'aurai pas été aussi fort.
-: Qui es tu? Si tu n'es pas qu'un simple humain? Me questionna t-il.
-: Je suis le nouveau gardien de la colonne de l'équilibre. Lui répondis je.
-: Tu serai le nouveau gardien?
-: Évidemment!
-: Pourrai tu nous le prouver?
-: Je sais que la guerre vous opposant au céleste...
-: ...Les célestes. Cela faisais longtemps que je n'avais pas entendus ce mot.
-: C'est à cause de la roue si tout à commencer. C'est elle qui voulait que vous soyer soumis à elle.
-: Comment ça?
-: Vous avez refusé de vous soumettre a leur dieu, pas vrai?
-: Oui et alors?
-: Le dieu à pour nom la roue du destin. C'est elle qui obligea les célestes à vous soumettre à elle.
-: Comment sais tu tout ça?
-: C'est la roue qui me la avoué, avant de disparaître.
-: Comment ça disparaître?
-: J'ai vaincu la roue du destin.
Pour prouver ma version de la vérité à ces créatures, je les emmenais aux colonnes pour montrer que pour ramener l'équilibre je l'avais vaincu. Nous sortions alors de cet endroit, je vis les cadavres des Dumahims. Puis une fois sortis du territoires le tourbillon des abysses, avait disparut laissant place à un grand lac. Je regardais aux alentours pour admirer ce paysage. Puis nous avancions, pour traversé les différentes crevasses. Une fois de l'autre côté, nous allions alors vers le sanctuaire des clan. Une fois sortis du tunnel tortueux, nous vîmes alors que les colonnes se trouvaient debout avec le blanc symbolisant leur pureté.
-: Mais je voudrais savoir une chose.
-: Laquelle?
-: Qui es tu?
-: Je suis Hash'Ak'Gik.
-: Quoi? Hash'Ak'Gik? C'est toi qui a corrompu le cercle des neuf, et tué Ariel?
-: C'était pour nous libérer.
-: Tant de mort à cause de ce dieu de pacotille.
C'est là que ma haine laissa place à la tristesse, je pensais à Ariel aux gardiens humains ou vampires et les hyldens, mort à cause de la roue du destin.
-: Hash'Ak'Gik?
-: Qu'y a t-il?
-: Je m'excuse de la mort des hyldens qui sont mort récemment.
-: Que veux tu dire?
-: J'ai tué certain de tes semblables, car ils tuèrent des humains en dehors de Nosgoth.
-: En dehors?
-: A la fin de l'empire de Kain les hommes ont fuit ces terres pour mieux vivre, et surtout en liberté.
Etonné à ces révélations, il voulait le visité pour voir a quoi pouvait bien ressembler ce monde. Je lui conseillais de rester ici, pour ne pas affoler la population. Je dus négocier avec lui, pendant une bonne heure. Une fois fini je décidais de partir de là. Mais juste avant...
-: Hash'Ak'Gik?
-: Oui?
-: Pourrai tu t'occuper des colonnes? Les garder en faite.
-: Tu ne compte pas revenir?
-: Si mais de temps en temps.
C'est alors que j'utilisais la technique <l'envol du vampire>. Pour quitter ces lieux pour revenir au QG et revoir les autres membres. Un sentiment de manque m'avait pris alors que je me trouvais dans cette cage. Après 4 heures de vol, j'atterrissais près du QG. Je sentais mon coeur battre la chamade, revoir les autres après ce qui venait de m'arriver. Mais en y repensant, je me surprenais à avoir qu'une seule pensé pendant ma détention forcée. Nathalie. Je voulais la revoir, même si je sentais que pour elle je ne serai qu'un ami. Mais mes sentiments se dévoila à mes yeux. Je l'aimais de tout mon coeur. Son bonheur pour moi se trouve être le plus important, même s'il est avec un autre. Mais du fond de mon être, je voulais que ce soit avec moi. Un bruit se fit entendre, je regardais en bas et je vis...
-: C'est pas possible! Mes genoux joues des castagnettes. J'affronte des hyldens pour protéger la population, un dieux pour restaurer l'équilibre. Et ce qui me fais le plus peur c'est d'avouer mes sentiment à Nathalie.
Je rentrai alors au QG. Les modérateurs sortait de la salle de réunion. Alors que moi je me dirigeais vers ma chambre. Une fois dans le couloir, je vis Nathalie. En la voyant mon coeur battait si fort que je crus qu'il allait exploser. Je lui expliquais ce qui c'était passer, une fois que le communicateur était tombé, quand je fus transporté par les hyldens. Une fois fini elle partis avertir les autres. Les idées se bousculaient dans ma tête. C'est alors que je posais ma main droite sur son épaule droite, qui la stoppa net. Elle se retournait pour voir ce que je voulais, puis une fois face à face je me rapprochais lentement d'elle, j'entourais sa taille avec mes bras lentement, mais tendrement. Puis une fois assez proche d'elle, mon visage se rapprocha du sien toujours aussi lentement et tendrement. C'est la que nos lèvres se rencontrai, ce baiser fut si tendre, doux. Pendant ce baiser,ma main gauche carressait ses cheveux, tandis que la droite parcourai son dos.Je me sentais bien, j'aurai voulu rester sans bouger pour l'éternité. Je lâchais alors mon étreinte sur Nath. Une fois assez éloigné, elle reculait de quelques pas. Mon geste la troublait profondément. Ne savant quoi dire, ni quoi faire elle préféra partir. Je restais là dans ces couloirs, avec mes yeux pour pleurer. Je m'éffondrais au sol, j'étais assis par terre pleurant comme une fontaine. Le regret prit mon coeur d'assaut.
-: J'ai failli... mourir pour ce... monde. Et encore une fois le bonheur m'est interdit. J'en ai marre de devoir vivre ça a chaque fois.
Je sortais la Reaver de son foureau, je la contemplais des idées me traversèrent l'esprit.
-: Autant en finir. A quoi sert de vivre, si ce n'est que pour souffrir.
Je me ressaisissais. Mourir pour ça, aurait été la plus grande connerie de ma vie. C'est alors que je laissais tout le monde ici. J'appliquai le dicton "loin des yeux loin du coeur". Je partis de nouveau à Nosgoth.

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C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.

Woooohhh Kain, je viens de lire ta dernière fic annexe mais je suis restée complètement bouche bée... Je ne sais pas quoi dire. Je sais que ce n'est qu'une histoire mais là j'avoue que je suis toute gênée... Ecrire la suite ? Franchement je ne saurais quoi raconter, là tu m'as scotché sur place !

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Miss TRO 2009

voila c'est déjà la fin de cette annexe annonçant la restauration de léquilibre.

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C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.

je remonte ce topic.

Voici une histoire qui suit "le retour du gardien"

L invasion du QG

Quelques mois plus tard, je décidais de revenir au QG. Je me sentais mieux. Mais en restant A Nosgoth, je vis que mes pouvoir s'épanouissait. Je ne comprenais vraiment pas pourquoi. Mais c'est comme ça. Une fois les 4h de vol effectuer je me retrouvais devant les bâtiments du QG. Je me sentais serein, même si je vérifiais mes genoux. Je rentrais comme si de rien n'était. Une fois dans ma chambre je vis qu'un seul lit, je me demandais ce qui se passait. Mais il n y avait personne dans tout le QG. Je ne comprenais rien de rien. Je courais en direction du self, mais une fois la bas personne ne s y trouvait. Je détallais vers les autre étages, mais rien de rien. Pas un chat pas un rat, pas une mouche même.
-: Mais qu'est ce qui c'est passé ici?
Je n'en croyait pas mes yeux. Le QG de TRO complètement vide. Qu'est ce qui a bien pus leurs arrivé pendant mon absence. J'arrivais a la morgue. J'ouvrais tous les tiroirs pour voir qui pouvais bien se trouver la. Cinq d'ouvert et aucune tête ne me revenait, six sept huit, toujours rien. Mes oreilles entendirent un léger bruit dans le couloir. Je me préparais à recevoir cette personne qui semblait venir ici. Je me retournais et je vis Lara et Julie se dirigeant vers moi. Mais elle ne purent me voir, car ayant de la brume sur le sol, j avais la capacité de disparaître. Je les observais dans mon coin. Je me demandais bien ce qu'il leur était arrivé.
-: il ne reste plus que nous! Disais Lara en crachant du sang de temps en temps.
-: Mais on ne peux rien faire contre ça! Disais Julie.
Mais que pouvais faire peur a ces humains. Car oui durant mon exile mes pouvoir avait muté. J'avais changé.
-: Ce sont des monstres! Disais Julie.
-: Mais comment les tuer?
C'est la que l'un d'entre eux se montra. Il se tenait debout, face à elle il les regardait. Avec ses yeux rouges comme le sang. Des palmes se trouvaient partout sur lui. Apparemment c'est un monstre marin. Une boule de télékinésie le frappa et l'éjecta contre le mur derrière lui. Surprise les fille me tenaient en joue avec leurs armes. Enfin elle tenaient ma direction en joue. Mais je me dégageais de la et me montrai à elle. Leurs regard changeais du tout au tout.
-: Vivien?! Me demanda Lara.
-: C'est bien moi! Mais qu'est ce qui se passe ici?
-: Explique lui Julie.
-: Il y a trois jours un homme a jouer les apprentis sorciers dans nos locaux. Depuis nous sommes envahit par des monstres comme ça.
-: Est ce qu il avait des symboles?
-: Oui regarde on en a certain.
-: C'est pas vrai!
-: Quoi? Demandais Lara.
-: Vous vous souvenez de l'histoire de Nosgoth?
-: Quelle partie? Me demanda Julie.
-: La partie de L'empire de Kain.
-: Et alors?
-: Vous venez de voir un Dumahim, Zephonim, Rahabim, Turelim, Melchahim.
-: Quoi? Me demanda Lara.
-: Ce sont des vampires! Des survivants de clans! Je vous dis.
-: Mais lesquelles sont de quelle clan?
-: Les Melchahims sont les vampires les plus faibles. Et... Tien en voilà un.
Je le combattais avec beaucoup de facilités.
-: Alors c'est un...
-: Melchahim? Oui.
A peine j eu dis ces mots que des autres vampires se présentèrent dans la pièce. Alors que je sortais la Reaver de son fourreau, Les plus anciens reculèrent par peur. Les plus jeunes ne savant pas ce que c'était m'attaquaient tous ensembles. Et avec les pouvoirs obscures de mon épée je les repoussais tous en même temps. Puis un combat s'en suivit. Je les avait massacré, sans aucune pitié.
Les plus vieux quand à eux, s'agenouillèrent pour me prêter allégeance. Me rapprochant d'eux, je vis alors, qu'un Melchahim regardait derrière moi. Mes sensations vampirique me prévenait d'un danger. Je me retournais, puis d'un geste bref mais précis, je lançais la Reaver. Le Zephonim, se trouvant sur le plafond près des filles se le prit dans l'abdomen, enfin dans le dos à ce niveau. En me retournant, je vis les autres essayé de m'attaquer, mais entre esquive et télékinésie. Je tentais de reprendre la Reaver mais un Turelim fut plus rapide que moi. Il tenta de la planter dans l'une des deux femmes. Je me plaçais alors devant celle qu'il visait. Et alors je me retrouvais avec ma propre épée dans mon abdomen.
-: HAAAAAAAAAA!
-: Vivien! Criai Julie.
-: Nooooooooooooon! Criai Lara.
Les vampires se trouvait libre de faire leurs volonté. Moi maintenant, je me retrouve dans l'épée. Enfin en tant qu'âme. Mais moi, le corps tomba de toute la hauteur. Je suis mort, maintenant plus rien ne retiens ces monstres. Désormais Julie et Lara sont à leurs merci.





A suivre

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C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.