Je vous mets ici déjà les quelques chapitres que j'ai écris de cette fanfiction courte, une parodie- suite des ma trilogie (Le miroir de Bastet, La lame des guerrières, la quête des temps). Je remet le prologue, pour ceux qui ne l'auraient pas lu ! Je mettrais 1 chapitre par semaine, comme ça j'ai le temps d'écrire les derniers chapitres.
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PROLOGUE
Bon, aujourd’hui, va pour une histoire d’horreur ! Ne t’inquiètes pas, elle ne fait pas si peur ! Quand ma mère me la racontait, elle rajoutait des éléments effrayants. Car cette histoire est censée donner une leçon. Car elle est tirée d’une histoire vraie. Je t’assure ! Cette histoire, cette aventure, s’est déroulée il y a quelques années. C’était au temps de ma mère. Ma mère connaissait parfaitement sa cousine. Une certaine Lara Croft. De la lignée poi… hum … sacré… hum … de la lignée très connue des Croft, en gros ! Non, non, cette lignée a vraiment existé. Maintenant, elle n’est plus que légende. Mais passons. Donc, tout commence par ce jour, très particulier …
C’était un jour comme les autres. Un dimanche matin des plus charmants. Les oiseaux cuicuitaient, le soleil rayonnait, et comme tous les jours, un majordome chiant comme tout venait réveiller Lara dans sa chambre.
- La… ra ? De … de…. Debout ! bégaya le vieil homme. Tel le père Fouras.
- Grbmnn … Encore une minute.
- Non, pas le temps ! Auj… auj … maintenant vous devez recevoir quelqu’un !
- Grbmmn …. Dix minutes, j’arrive.
Quelques longues minutes plus tard, Lara s’extirpa de son lit en rampant, avant de dégringoler du lit et de s’endormir la bouche grande ouverte, recouvrant la moquette de bave.
Elle resta un moment dans cette position. C’est alors qu’elle sentit une main lui caresser le visage.
- Va voir ailleurs le chat, marmonna Lara dans sa barbe.
- Je doute fort que vous possédiez un chat !
Lara se redressa soudainement, essuyant le fil de bave qui lui pendant sur le menton et agrippa un morceau de la couverture pour se cacher. Un jeune homme était accroupit en face d’elle. Il avait les cheveux châtains, en broussaille, des yeux d’un vert émeraude et portait un manteau noir.
- Nan mais ça va pas ??? Qui vous a permis d’entrer chez moi comme ça ?
- He bien je n’aurait pas eu à monter si vous vous seriez bougé jusqu’en bas, là où je vous attendais !
- Mais j’ai dis 10 minutes !
- Oui peut-être. Mais étrangement, en ces dix minutes, j’ai eu le temps d’apprendre à jouer aux échecs, de m’entraîner dans votre salle d’entraînements, de visiter de long en large votre jardin, et de goûter toute les sortes de thé que sait préparer votre majordome.
- Ha ouai, j’ai du m’endormir.
- Vous êtes toute excusé, dit le jeune homme en souriant.
- Arrêtez de sourire bêtement !
- Pourquoi ?
- Parce queeeee ! Vous pourriez quitter la pièce, que je m’habille plus convenablement avant de parler business, dit-elle sur un ton forcé, tout en montrant la porte d’un signe de tête.
- Je vous attends dans l’armurerie.
- Allez, allez !
L’homme se releva et quitta la chambre. Lara s’écroula par terre. Elle commença une danse inconnue, tout en étant étalée sur le dos, et en chantant « Je lui ai tapé dans l’œil !! ». Après son rituel assez étrange, elle s’habilla avec un beau décolleté, et enfila un pantalon. Elle se coiffa, et se regarda pendant plusieurs longes secondes dans le miroir. Ça faisait plusieurs temps déjà qu’elle n’avait pas rencontré un jeune homme. Mais pourquoi était-il ici ? Elle ne le connaissait pas pourtant ! Depuis la mort de son ancien ami, Jack Leggson, ainsi que Kurtis Trent, elle s’était jurée de surveiller de plus près ses ex ! Elle n’était pas prête à faire ami-ami si facilement. Mais ce jeune inconnu qui était entré dans sa chambre avait un tel charme !
Elle descendit donc dans la salle d’armurerie. Elle entra et se retrouva nez à nez avec l’étranger.
- Vous vous appelez comment ? Il me semble pas vous avoir invité … vous vous permettez beaucoup de choses pour un inconnu.
- M. Salter, répondit-il en regardant au-dessus des vitrines où étaient disposés les sabres et autres joujoux du genre.
- Carrément … ça m’avance beaucoup. Hum, vous désirez ?
- Vous tester.
Il ouvrit la vitrine, et pris en main un des sabres.
- He, attendez, non, non, non, c’est une pièce de collection ! C’est bien pour ça que c’est en vitrine !!
- Ce petit bijou n’est même pas utilisé ! Comment vous vous entraînez ??
- Avec les armes qui sont disposés dans leur étuis, dans l’armoire derrière vous ! Bon, pourquoi me « tester » que voulez vous ?
- Ben vous tester, répliqua-t-il en lui lançant un des sabres.
Il referma la vitrine, et s’avança vers le milieu de la salle.
- Plus vos coups seront intelligents, plus je vous donnerais d’informations !
- Non mais ça ne va pas ? Qu’est-ce qui vous prenez de débarquer chez moi comme ça ?
- Et détruisez pas trop le décors, je vais pas nettoyer ap… ap… après, s’exclama Winston tout en continuant de dépoussiérer un vase à l’entrée de la salle.
Lara soupira très profondément. Elle saisit une arme, puis tenta de toucher doucement l’autre touriste. Il avait un air arrogant, mais Lara réussit un coup puis s’arrêta soudainement.
- Alors, à nous deux !
- D’accord, que voulez-vous savoir ?
- Hum … hum … votre numéro de portable vous avez ?
- Je vois votre subterfuge. Vous voulez me suivre jusqu’au QG, belle tentative, mais non !
- Dommage, bon hum, que venez-vous faire ici ?
- Vous voir.
- Nan, je suis désolée, je veux la réponse complète.
- Je travaille au FBI. On m'envoie pour vous surveiller tout simplement !
- Quoi ?? Mais ça va pas bien !? Je peux m’auto surveiller non ?
- Après avoir saccagé le British Muséum, une place publique à Grèce, menacé un passant avec une hache, et un autre en voulant le défigurer, je pense qu’il est nécessaire de vous garder à l’œil !
- Et vous allez me suivre, comme ça, partout où le vais !?
- Absolument. Je vais vous coller au c*l pour le restant de votre vie !
Lara écarquilla les yeux.
- Très bien, voua l’aurez voulu ! Winston, préparez mes bagages, je pars !
- Mais où … où ça Mademoiselle ? répondit celui-ci.
- Dans l’endroit le plus dégueulasse, le plus dangereux, et le plus difficile d’accès que vous trouviez ! Demandez à Brice de chercher ! répondit-elle avec un large sourire envers Selter.
- Très bien Mademoiselle. Je fais venir Brice de son voyage en FloFlo …
- Oui Winston, faites donc ! Au faite monsieur Selter, puisqu’on va devoir cohabiter ensemble, quel est votre prénom ?
- Morgan.
- Très bien, vous allez mourut, je peux vous l’assurer, Morgan !
- Mi… mi… bégaya le majordome, venant d'entrer dans la pièce.
- Vous allez pas nous faire toute la gamme de do, mon chère ! répondit Lara.
- Rolala, les blagues british ! Miss, on ne retrouve plus Bri… Brice !
- Vous avez appelé tous les hôtels de Floride ?
- Floride ? Ah, j’ai appelé autre part désolé ! J’y retourne !
Quelques longues minutes plus tard, Winston arriva.
- Introuvable, miss !
- Bon, je me passerais de ses services, mais il a intérêt à avoir une TRES bonne excuse ! grogna Lara, avant de se retourner vers Morgan.
- Allons-y !
La suite, demain.